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Forum de coopération en matière de réglementation de l'Accord économique et commercial global - Plan de travail 2020

Publié le : 23 octobre 2020

Le plan de travail du Forum de coopération en matière de réglementation (FCR) de l’Accord économique et commercial global (AECG) est un document évolutif. Il sera mis à jour de façon continue à mesure que des occasions de coopération en matière de réglementation se présenteront et après chaque réunion du FCR.

Contexte

Le 21 septembre 2017, l’AECG entre le Canada et l’Union européenne (UE) est entré en vigueur de façon provisoire. Le chapitre 21 définit le cadre des activités de coopération en matière de réglementation, y compris la création du FCR. Le chapitre s’appuie sur un accord existant entre l’UE et le Canada et portant sur la coopération en matière de réglementation, et le remplace (« Cadre relatif à la coopération en matière de réglementation et à la transparence du Gouvernement du Canada et de la Commission européenne, fait à Bruxelles le 21 décembre 2004 »).

Le rôle du FCR est de faciliter et de promouvoir la coopération en matière de réglementation entre les parties. La FCR exerce les fonctions suivantes :

Structure du FCR

Le travail est dirigé conjointement par la Direction générale du marché intérieur, de l’industrie, de l’entrepreneuriat et des PME (DG GROW) et la Direction générale du commerce (DG TRADE) du côté de l’UE, et par le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et Affaires mondiales Canada du côté canadien.

Coprésidents pour l’UE :

Coprésidents pour le Canada :

La FCR doit :

Participation des intervenants

Pour éclairer leurs activités de coopération en matière de réglementation, y compris les échanges entre les organismes de réglementation lors des réunions du FCR, les deux parties ont mené des consultations conformément à l’article 21.8 de l’AECG afin de recueillir les points de vue des intervenants européens et canadiens sur des sujets possibles où les organismes de réglementation de l’UE et du Canada peuvent collaborer de façon significative.

Chaque partie peut décider de tenir d’autres consultations auprès des intervenants pour éclairer ses enjeux et ses secteurs d’intérêt dans le cadre du FCR.

Élaboration du plan de travail

À la lumière des commentaires que le Canada et la Commission ont reçus dans le cadre de leurs consultations, les parties ont échangé des propositions qui décrivent les domaines réglementaires, les enjeux et les secteurs qui les intéressent. Grâce à des analyses internes et à des discussions avec leurs organismes de réglementation respectifs, ainsi qu’à des dialogues entre elles, les parties s’efforcent de cerner les questions d’intérêt commun. Bien que ces dialogues et échanges se poursuivent, les parties ont convenu que les travaux portant sur l’échange de l’information relative à la sécurité des produits de consommation, comme défini à l’article 21.7 de l’AECG, devraient commencer rapidement.

Au fur et à mesure que les parties s’entendront sur les domaines d’intérêt commun, elles travailleront avec les organismes de réglementation pour inclure ces points dans un tableau des domaines de coopération (annexe A), qui comprend les mesures et les échéanciers.  

Annexe A

Aperçu des domaines de coopération en matière de réglementation du Forum de coopération en matière de réglementation (FCR) de l’Accord économique et commercial global (AECG)

Secteur : Sécurité des produits de consommation

Ministère canadien : Santé Canada

Département européen : Commission européenne, direction générale de la justice et des consommateurs (DG JUST)

Énoncé de coopération en matière de réglementation : La sécurité des produits de consommation vendus sur leurs marchés nationaux est une préoccupation majeure pour les organismes de réglementation du monde entier. La mondialisation accrue des marchés et des chaînes d’approvisionnement, la croissance des achats en ligne/transfrontaliers et le nombre croissant de nouveaux produits désormais offerts sur les différents marchés ont eu pour effet d’éliminer les frontières physiques. Les mêmes produits de consommation ou les mêmes types de produits sont désormais offerts dans des marchés semblables, ce qui signifie que les autorités de l’UE et du Canada font souvent face à des défis semblables en matière de sécurité des produits. Dans ce contexte, il est impératif que le gouvernement du Canada et les organismes de réglementation de l’Union européenne collaborent pour identifier efficacement les produits de consommation potentiellement dangereux.

Initiative : Échange de renseignements entre RAPEX, le Système d’échange rapide d’information de l’UE et RADAR, le système de signalement d’incidents en lien avec les produits de consommation du Canada

Résultat désiré : Les organismes de réglementation canadiens et européens disposent de renseignements opportuns et détaillés sur la sécurité des produits de consommation provenant l’un de l’autre, ce qui permet de prendre des décisions plus éclairées pour s’acquitter de leur mandat qui consiste à améliorer la santé et la sécurité de leurs citoyens en ce qui concerne les produits de consommation :

Activités

Échéanciers

Situation

Commentaires

Article 21.7 4) à 6) de l’AECG

Échange régulier d’informations entre le RAPEX de l’UE et les systèmes RADAR du Canada

T1, T2, T3, T4 2020

Continu

L’échange périodique d’informations est en place et fonctionne, conformément à l’accord administratif entre DG JUST et Santé Canada

Article 21.7 3) de l’AECG

Activité coordonnée de surveillance du marché

T1-T4 2020, T1-T2 2021

Continu

Les participants se sont mis d’accord sur les modalités d’une activité coordonnée de surveillance du marché des métaux lourds dans les bijoux pour enfants vendus en ligne. Du côté de l’UE, les essais ont commencé en août 2020. L’échantillonnage et les essais sont prévus au Canada pour le T4 2020 au T1 2021.

Campagne de sensibilisation coordonnée

 T4 2020, T2 2021

En cours de planification

À la suite d’une campagne de sensibilisation coordonnée sur le risque des piles boutons pour les enfants en novembre 2019, les participants discutent d’éventuelles autres campagnes de communication pour l’hiver 2020 et l’été 2021.

Téléconférences bilatérales

T1 à T4 2020, T1 et T2 2021

Continu

Les participants organisent régulièrement des téléconférences au niveau opérationnel pour discuter des questions de sécurité des produits de consommation (y compris les questions émergentes telles que les produits liés à la COVID-19) et pour déterminer les domaines de coopération possibles afin d’améliorer la sécurité des produits de consommation sur les marchés de leurs pays respectifs.

Secteur : « Cosméceutiques »

Ministère canadien : Santé Canada

Département européen : Commission européenne, direction générale santé et sécurité alimentaire (DG SANTE)

Déclaration de coopération en matière de réglementation : Le Canada cherche à accroître l’harmonisation de la réglementation avec l’UE en ce qui concerne certains produits « de type cosmétique».

Initiative : Éliminer les exigences du Canada en matière de mise en quarantaine et des tests de confirmation additionnels pour les « cosméceutiques » à faible risque importés de l’UE.

Résultat désiré :

Élimination de la mise en quarantaine et des tests de confirmation additionnels du Canada pour certains types de « cosméceutiques » à faible risque provenant de l’UE afin de réduire les différences réglementaires inutiles et le fardeau pour l’industrie. 

Moderniser le cadre réglementaire du Canada pour les produits d’autosoins (y compris les cosmétiques, les produits de santé naturels et les médicaments en vente libre) en adaptant le niveau de surveillance à leur niveau de risque et en permettant la poursuite de l’innovation dans le domaine des produits de santé, tout en réduisant le fardeau inutile et le dédoublement des formalités administratives.

Santé Canada envisage d’élargir le projet pilote pour y inclure d’autres types de produits hors-cote « de type cosmétique » à faible risque fabriqués dans des installations conformes de l’UE.

Activités

Échéanciers

Situation

Commentaires

Exemption des essais et de la quarantaine pour les produits de protection solaire provenant de l’UE.

Terminée

Terminé en date du 1er juillet 2020.

Compte tenu du succès rencontré, le projet pilote a été mis en œuvre par le biais un règlement.

Exemption de la mise en quarantaine et des nouveaux essais pour les produits de type cosmétiques à faible risque, comme les dentifrices et les shampoings antipelliculaires.

Cible

AF 2020-2021

– Avec l’entrée en vigueur des modifications réglementaires dans le cadre de l’accord entre le Canada, les États-Unis et le Mexique, les exigences relatives aux essais supplémentaires et à la mise en quarantaine des (y compris les shampoings antipelliculaires) de certains (y compris les partenaires de l’ARMNote de bas de page 2) ont été supprimées.

– Explorer la possibilité d’une future exemption d’analyse supplémentaire et de quarantaine pour d’autres produits à moindre risque, notamment les dentifrices.

Santé Canada envisage d’élargir la liste des produits en consultant des intervenants externes.

Secteur : Inspections des produits pharmaceutiques 

Ministère canadien : Santé Canada

Département européen : Commission européenne, direction générale santé et sécurité alimentaire (DG SANTE)

Déclaration de coopération en matière de réglementation : En octobre 2016, le Canada et l’UE ont signé l’Accord économique et commercial global – Protocole sur la reconnaissance mutuelle du programme de conformité et d’application relatif aux bonnes pratiques de fabrication pour les produits pharmaceutiques. En plus de permettre la reconnaissance mutuelle continue des certificats de conformité aux BPF de l’autre partie, l’alinéa 5(2) du Protocole indique que le Canada et l’UE peuvent accepter les certificats de conformité aux BPF délivrés par un organisme de réglementation équivalent de l’autre partie à l’égard d’une installation de fabrication située à l’extérieur du territoire des parties.

Ces certificats sont actuellement échangés sur une base volontaire par les organismes de réglementation canadiens et européens dans les situations jugées appropriées par les Parties. 

Il est possible de reconnaître officiellement les inspections pharmaceutiques menées dans des pays tiers et de mettre en œuvre l’échange de certificats afin d’améliorer davantage la coopération et l’harmonisation de la réglementation entre l’UE et le Canada.

Initiative : Élargir l’approche existante de reconnaissance des résultats d’inspection des Parties respectives pour y inclure les inspections qui sont menées dans des pays hors des compétences des Parties respectives (c’est-à-dire inspections extrajuridictionnelles)

Résultat désiré : La reconnaissance mutuelle des résultats des inspections permettrait une surveillance réglementaire plus efficiente et efficace et profiterait au commerce entre le Canada et l’UE sans diminuer les normes élevées de sécurité et de qualité qui existent dans les deux pays. Cela réduirait également le fardeau réglementaire imposé à l’industrie et permettrait une meilleure harmonisation de la réglementation entre les partenaires réglementaires internationaux.

Activités

Échéanciers

Situation

Commentaires

Activité 1 – Identification des différences éventuelles entre les inspections BPF effectuées en dehors des territoires des parties

Terminée

Un document identifiant les différences entre les inspections menées sur le territoire national et dans les pays tiers montre que les différences sont similaires pour les deux parties. Ce document a été présenté au Groupe sectoriel mixte sur les produits pharmaceutiques (GSMPP) du 21 novembre 2009 et, après consultation interne des deux parties, a été considéré comme terminé.

Une fois reconnu, l’article 5 2) devrait alors être applicable aux inspections par des tiers concernant les médicaments ou les drogues de la portée opérationnelle de l’annexe 1 du Protocole de l’AECG sur les BPF pour les produits pharmaceutiques.

Activité 2 – Processus de décision

L’objectif d’achèvement est reporté au quatrième trimestre 2020 en raison de la pandémie.

Le document élaboré dans le cadre de l’activité 1 sera soumis à l’approbation à l’interne des parties respectives avant la décision finale sur la mise en œuvre. Décision à prendre par échange écrit et à entériner lors de la prochaine réunion du groupe de travail conjoint en 2020.

Pour les médicaments, ou les médicaments couverts par le champ d’application opérationnel de l’annexe 1 du protocole de l’AECG sur les produits pharmaceutiques, la conclusion de l’évaluation de l’équivalence des différences et similarités dans la conduite des inspections par des tiers (activité 1) doit tenir compte de la reconnaissance des résultats des inspections dans les pays tiers par les deux parties.

Activité 3 – Échange de renseignements sur les BPF pour les inspections effectuées en dehors des territoires des parties

L’objectif d’achèvement est reporté au T2 2021 en raison de la pandémie.

D’autres discussions seront menées avec Santé Canada, les autorités nationales compétentes européennes et l’Agence européenne des médicaments (EMA) sur le contenu du certificat de BPF à échanger pour les inspections de sites situés dans des pays tiers. En outre, les procédures réglementaires concernées devront être modifiées.

La date de mise en œuvre du projet, qui est actuellement prévue pour avril 2021, sera proposée au comité de décision de l’AECG concerné. Cela sera soutenu par une communication aux intervenants, avec une évaluation lors de la réunion suivante du groupe de travail mixte.

Secteur : Cybersécurité

Ministère canadien : Innovation, Sciences et Développement économique Canada

Ministère européen : Commission européenne, Direction générale des réseaux, contenus et technologies de communication (DG CONNECT)

Compte tenu de l’évolution des priorités politiques, les régulateurs européens et canadiens ont décidé d’interrompre leurs travaux sur la cybersécurité dans le cadre du Forum de coopération réglementaire de l’AECG, tout en maintenant un dialogue ouvert sur cette question. Les deux parties reconnaissent également l’utilité d’un dialogue sur la vie privée et la protection des données et sont en contact pour déterminer le canal approprié à cet effet.

Secteur : Bien-être des animaux

Ministère canadien : Agriculture et Agroalimentaire Canada

Ministère européen : Commission européenne, Direction générale de santé et de la sécurité alimentaire (DG SANTE) et Direction générale du commerce (DG COMMERCE)

Déclaration sur la coopération réglementaire : Le Canada a un territoire géographique très étendu, ce qui implique nécessairement le transport d’animaux sur de longues distances à des fins multiples, mais qui pose des défis particuliers. Le bien-être des animaux en général reste une question d’intérêt public. Le Canada attend avec impatience toutes les occasions de comprendre la manière dont d’autres pays gèrent ces questions et de partager nos enseignements.

L’UE s’intéresse également à l’expérience canadienne sur ce sujet et l’échange d’informations entre le Canada et l’UE facilitera une meilleure compréhension des avantages et des défis des deux systèmes.   

Initiative : échange d’information concernant divers aspects du bien-être des animaux (p. ex. transport sur de longues distances, abattage et élevage).

Résultat souhaité :

Activités

Échéanciers

Situation

Commentaires

Téléconférence – Partage d’informations techniques entre l’UE et le Canada.

Novembre 2019

Achevé – février 2020

Cela a permis de cerner un besoin d’échange d’informations supplémentaires.

Vidéoconférence – Échange d’information technique entre l’UE et le Canada.

17 février 2020

Terminée        

Parmi les sujets abordés, citons le transport d’animaux sur de longues distances, les abattoirs mobiles, les derniers développements en matière de bien-être animal au Canada et dans l’UE, ainsi que d’éventuels futurs sujets (par exemple l’étiquetage).

Échange d’informations et de documents

Février à novembre 2020

Continu

Les retards attribuables à la COVID-19 ont déplacé les plans de réunion à l’automne.

Téléconférence – Poursuite de l’échange d’information technique entre le Canada et l’UE

Octobre et novembre 2020

En cours de planification 

Échange d’information sur le programme du Canada et de l’UE en matière de bien-être animal; transport d’animaux sur de longues distances et protection au moment de l’abattage (p. ex. temps maximal passé dans les étriers et paramètres électriques pour l’étourdissement des volailles au moyen d’un bain d’eau)

Vidéoconférence – poursuite de l’échange de renseignements techniques entre le Canada et l’UE

Le 16 juin 2021

Terminé

Réunion réussie, avec rapport sur les initiatives importantes de l'UE en cours (Initiative citoyenne européenne « End the cage age » ; évaluation de la stratégie de l'UE pour le bien-être animal (2012-2015), échanges supplémentaires sur le transport des animaux (transport maritime).

Le Canada et l’UE ont convenu d’effectuer un suivi et d’échanger des renseignements.

La prochaine réunion est prévue pour l’automne 2021.

L’UE et le Canada ont également élaboré une déclaration de coopération conjointe sur le bien-être des animaux, en référence au récent Sommet Canada-Union européenne de 2021.

Secteur: Médicaments pédiatriques

Ministère canadien: Santé Canada

Ministère européen: Commission européenne, Direction générale de santé et de la sécurité alimentaire (DG SANTE) & l`Agence européenne des médicaments (EMA)

Déclaration sur la coopération réglementaire: Le Canada cherche à tirer des enseignements des règlements pédiatriques de la EMA (CE n° 1901/2006 et CE n° 1902/2006) et à renforcer l’harmonisation de ces règlements.

Initiative : Renforcer l’alignement de la réglementation sur les règlements et processus pédiatriques de la EMA afin d’améliorer l’accès aux médicaments pédiatriques et de réduire le fardeau sur l’industrie.

Résultat souhaité : Santé Canada élabore des initiatives réglementaires et politiques pour mieux soutenir l’accès aux médicaments pour les enfants. Les médicaments ayant des indications pédiatriques ou des formulations disponibles en Europe ne sont pas toujours soumis au Canada, peut-être en raison de la petite taille du marché canadien. En outre, alors que l’UE dispose d’autorités réglementaires qui exigent la présentation d’un plan d’investigation pédiatrique (PIP) pour qu’un médicament soit autorisé, le Canada n’a pas actuellement les mêmes exigences. Les travaux visant à combler cette deuxième lacune sont en cours.

Une collaboration plus poussée avec l’UE sur les médicaments pédiatriques pourrait être bénéfique, sur la base des modèles existants de collaboration internationale et d’échange du travail, que Santé Canada a mis au point ces dernières années, par exemple :

Un partenariat entre Santé Canada et la EMA dans le domaine de la  pédiatrie  permettrait de soutenir l’alignement  en matière d’évaluation réglementaire à l’échelle internationale et, éventuellement, d’harmoniser les processus d’évaluation, réduisant ainsi le fardeau  qui pèse sur l’industrie pour satisfaire aux exigences spécifiques des deux juridictions et éliminant éventuellement les multiples demandes d’information des deux organismes de réglementation. Ceci pourrait être t une avenue intéressante  pour l’industrie qui souhaite bénéficier   des processus d’évaluation efficaces, et permettrait ultimement  un meilleur   l’accès aux médicaments pour un plus grand nombre d’enfants dans le monde.

Activités

Échéanciers

Situation

Commentaires

Collaboration générale dans le cadre de discussions du groupe pédiatrique EMA-FDA-SC-TGA (Therapeutic Goods Administration de l’Australie)-PMDA (Pharmaceutical and Medical Devices Agency du Japon)

Continu

Continu

Pas de date d’expiration fixe

La EMA partagera avec Santé Canada les gabarits d’évaluation et la documentation interne relative à l’évaluation  des plans d’investigation pédiatriques (PIP).

Septembre ou octobre 2020

Pas encore entrepris

La EMA partagera les procédures d’exploitation normalisées (PNE) internes et les processus liés à l’évaluation  PIP (des  réunions préalables à l’autorisation de mise sur le marché, en passant par la soumission).

Septembre et octobre 2020

Pas encore entrepris

La EMA va partager les évaluations finales des PIP  (pour les produits pharmaceutiques et biologiques).

Le concept sera discuté plus avant au cours du second semestre 2021.

Pas encore entrepris

Cela dépend de la nécessité d’expurger les données personnelles dans les documents (clarification en cours). La continuité des activités due à la COVID-19 et les contraintes de capacité connexes doivent être prises en compte.

Santé Canada assistera aux réunions du comité pédiatrique (PDCO) de la EMA (en tant qu’observateur, sans être impliqué dans le processus d`évaluation).

Octobre 2020 à mai 2021

Pas encore entrepris

La participation aux plénières à ce comité se déroule virtuellement en raison de la situation de la COVID-19.

Santé Canada participera aux évaluations parallèles et assistera à l’évaluation des PIP par la EMA, de la soumission à l’approbation, y compris en participant ou observant les réunions du comité.

Le concept sera discuté plus avant au cours du second semestre 2021.

Pas encore entrepris

Cela dépend de la nécessité de rédiger des PIP (ci-dessus). La continuité des activités due à la COVID-19 et les contraintes de capacité connexes doivent être prises en compte.

Santé Canada partagera les analyses pertinentes des activités et des approbations internationales de médicaments pédiatriques élaborées dans le cadre de son processus continu d’élaboration de politiques pédiatriques.

Continu

Continu

Les analyses spécifiques seront énumérées ici au fur et à mesure qu’elles seront effectuées ou lorsqu’elles seront partagées avec l’EMA.

Santé Canada et la EMA vont explorer d’autres possibilités de collaboration.

À envisager pour une première discussion fin 2021 ou début 2022.

Pas encore entrepris

Les expériences tirées des mesures ci-dessus doivent être évaluées. La continuité des activités due à la COVID-19 et les contraintes de capacité connexes doivent être prises en compte.

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