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Comparution de la sous-ministre des Affaires étrangères, du sous-ministre du Développement international, de la sous-ministre du Commerce international et de la sous-ministre délégué des Affaires étrangères devant le Comité sénatorial des affaires étrangères et du commerce international (AEFA) sur moderniser la diplomatie du Canada (aux fins voulues) Sous-ministre des Affaires étrangères

2022-06-09

Table des matières

  1. Document d’information
    1. Note de scénario
    2. Moderniser la diplomatie du Canada — Note conceptuelle
    3. Biographies des membres d’AEFA
  2. Nos employés
    1. Travail hybride et avenir du travail
    2. Gestion des talents et perfectionnement des compétences
    3. Perfectionnement des compétences pour le Service extérieur
    4. Formation en langue étrangère
    5. Diversité, inclusion et égalité des genres
    6. Langues officielles
    7. Dotation
    8. ERP
    9. Conditions du Service extérieur (intégration des rotations)
    10. Bien-être
  3. Notre capacité stratégique et nos principales responsabilités
    1. Tendances mondiales et moteurs de la diplomatie
    2. Diplomatie et défense des intérêts à l’échelle internationale
    3. Analyses de la politique étrangère fondées sur des données probantes
    4. Obtention, mesure et divulgation des résultats
    5. Commerce et investissements
    6. Programmes de développement, de paix et de sécurité
    7. Aide pour les Canadiens à l’étranger
  4. Nos capacités technologiques et numériques
    1. Stratégie de données et stratégie numérique
    2. Innovation et expérimentation
    3. Gestion des risques — Enjeux liés à la TI et questions générales
  5. Notre présence mondiale
    1. Empreinte et services mondiaux — Plateforme internationale
    2. Propriété, infrastructure et technologie
  6. Documents additionnels
    1. Tableau — Taux d’attrition à AMC
    2. Tableau — Bassins permutants
    3. Fiche d’information sur les RH d’USS
    4. Foire aux questions

Comparution devant le comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international

Étude sur le service extérieur canadien et les éléments du mécanisme de politique étrangère au sein d’affaires mondiales Canada et sur d’autres questions connexes

A. Document d’information

Scénario de la réunion

Autres demandes de comparution pertinentes

Le Comité a invité les trois ministres d’AMC à comparaître devant lui à l’occasion de ses prochaines réunions de juin. Ces dates ne convenaient pas aux ministres. Cette question pourrait revenir à l’automne.

Contexte du comité

Membres et intérêts du comité

Modernisation d’Affaires mondiales Canada pour obtenir du succès dans un monde en évolution

1. Contexte

Dans sa lettre de mandat du 16 décembre 2021, le premier ministre Trudeau a demandé à la ministre des Affaires étrangères, Mélanie Joly, de « promouvoir les intérêts et les valeurs du Canada dans un monde confronté à des menaces et à des enjeux de plus en plus complexes », notamment en « renforçant les capacités diplomatiques du Canada ».

Le 24 février 2022, le sénateur Boehm a présenté une motion, adoptée par le Sénat, autorisant le Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international (AEFA), qu’il préside, à étudier, pour en faire rapport, « le service extérieur canadien et d’autres éléments de l’appareil de politique étrangère au sein d’Affaires mondiales Canada, et d’autres questions connexes »; et que « le comité soumette son rapport final au Sénat au plus tard le 30 mars 2023, et qu’il conserve tous les pouvoirs nécessaires pour diffuser ses conclusions dans les 180 jours suivant le dépôt du rapport final ».

Sous la direction du sous-ministre des Affaires étrangères, Affaires mondiales Canada (AMC) entreprend un examen interne de certains aspects ciblés de son organisation et de son cadre stratégique afin de moderniser et de renforcer la capacité du Canada de s’engager sur la scène mondiale, de sorte que le Ministère demeure bien équipé pour remplir son mandat à long terme dans un monde en rapide évolution. La présente note conceptuelle décrit la portée, la voie et l’ambition de ce processus d’examen.

La ministre des Affaires étrangères sera régulièrement informée des progrès accomplis et devrait communiquer son engagement, ses attentes et son engagement dès le début du processus.

2. Diagnostique initial

Un paysage mondial complexe et déstabilisant a des répercussions sur le programme international du Canada. Les forces internationales, la dynamique et l’ensemble convenu de règles, de lois, de normes et d’institutions qui ont façonné le monde au cours des 75 dernières années sont à de véritables points d’inflexion. Le Canada navigue maintenant dans des eaux géopolitiques turbulentes et contestées, alors que l’ordre mondial et la répartition du pouvoir en son sein sont en plein recalibrage, et que l’issue demeure ambiguë et incertaine. Un portrait de ce moment révèle que nous sommes confrontés à des crises séquentielles, cumulatives, aiguës et qui se chevauchent, plaçant nos systèmes de gouvernance nationaux et internationaux dans un état de stress perpétuel.

La capacité du Canada de s’engager sur la scène mondiale est actuellement confrontée à un certain nombre de possibilités et de défis qui appellent sa modernisation, y compris ce qui suit :

On demande de plus en plus au Ministère de réagir face à des situations et à des événements sans précédent, en utilisant des outils, des structures et des processus issus d’une époque différente et conçus pour un temps différent.

La protection et la promotion de nos valeurs et de nos intérêts nationaux dans le monde d’aujourd’hui, y compris dans les domaines de la sécurité, de la politique, des services consulaires, du commerce et du développement, dépendent de notre capacité de travailler avec des gouvernements étrangers, des organisations régionales et internationales, ainsi qu’avec un nombre croissant d’acteurs non étatiques, et à influencer leurs décisions et leur conduite dans divers contextes. Le Canada doit conserver et renforcer sa capacité d’exercer de l’influence sur la scène internationale.

3. Portée et objectifs

Cet exercice n’est pas un examen complet du Ministère. Il se concentrera sur quatre piliers différents :

  1. a) Notre personnel : Veiller à ce que nous soyons en mesure de recruter, de conserver et de développer une main-d’œuvre diversifiée possédant les qualités de leadership et les compétences nécessaires pour relever les défis mondiaux d’aujourd’hui et de demain. Mettre en place des mécanismes et des systèmes efficaces pour perfectionner l’expertise et les connaissances, ainsi que pour déployer et réaffecter stratégiquement nos ressources humaines, notamment en période de crise.
  2. b) Notre capacité d’action : Veiller à que nous ayons la capacité d’anticiper et d’identifier les possibilités et les défis pour promouvoir et protéger les intérêts canadiens, ainsi que relever les nouveaux défis politiques. Veiller à ce que notre personnel et nos diplomates disposent des outils et des programmes nécessaires pour soutenir leur travail et dialoguer efficacement avec les parties prenantes lors de l’élaboration des politiques.
  3. c) Nos capacités technologiques et numériques : Veiller à ce que nous disposions des outils numériques, de l’infrastructure et du financement durable dont nous avons besoin pour projeter nos intérêts et nos valeurs dans un monde de plus en plus virtuel, que nous ayons accès aux données et aux analyses pour optimiser la prise de décision et les idées fondées sur les données concernant les questions mondiales, et que nous pouvions protéger les renseignements et les réseaux face aux cybermenaces.
  4. d) Notre présence dans le monde : Veiller à ce que nous disposions des capacités et d’un processus efficace pour évaluer et ajuster en permanence notre présence mondiale afin de relever les nouveaux défis et saisir les possibilités, ainsi que de garantir l’alignement avec nos intérêts stratégiques.

Dans les quatre piliers, l’exercice assurera une communication solide et renforcera la cohérence entre les portefeuilles du commerce, du développement, de la politique étrangère et des affaires consulaires du Ministère. Les efforts ministériels en cours, y compris, sans s’y limiter, ceux liés à l’équité, la diversité et l’inclusion (EDI), la mission de l’avenir, les stratégies numériques et de données, la viabilité financière et l’avenir du travail, éclaireront et façonneront cet exercice.

4. Gouvernance

Le sous-ministre délégué des Affaires étrangères, appuyé par le sous-ministre adjoint de la Politique stratégique, dirigera le processus d’examen, sous la direction du sous-ministre des Affaires étrangères.

Un conseil consultatif sera convoqué par le sous-ministre des Affaires étrangères afin de fournir des renseignements et des commentaires sur l’examen de façon trimestrielle.

Un comité directeur des SMA examinera régulièrement les progrès réalisés et fournira des conseils sur l’exercice, ses principales conclusions et recommandations. Ce comité directeur à l’échelon des SMA sera composé des directions suivantes : Politique stratégique (PFM), qui en assurera la présidence, Ressources humaines (HCM), Planification générale, finances et technologies de l’information (SCM), Plateforme internationale (ACM), Développement du commerce international, investissement et innovation (délégué commercial en chef) (BFM), Direction générale de l’Afrique subsaharienne (WGM), et Amériques (NGM), en tant qu’Administration centrale de la Direction générale du soutien aux missions (NMD).

Une petite équipe dévouée et multidisciplinaire, au sein du Secteur de la politique stratégique, relevant de la Direction générale de la politique étrangère (POD), est en cours de constitution pour soutenir ce projet. Cette équipe travaillera en étroite collaboration avec des collègues de niveau opérationnel dans les cinq secteurs susmentionnés, ainsi qu’avec tous les autres secteurs du Ministère, en consultation avec les missions à l’étranger, au besoin.

Veuillez consulter l’annexe A pour obtenir de plus amples renseignements sur les aspects de gouvernance du projet.

5. Communication et consultations

Une journée de réflexion du Comité exécutif le 29 avril a servi de première étape de communication ministérielle, et sera suivie d’une communication préliminaire avec le personnel dans un message à diffusion générale. Ce dernier fournira des renseignements sur le projet et expliquera ses paramètres. Des dialogues avec les employés, les missions et les champions ministériels, notamment le Secrétariat de lutte contre le racisme et les réseaux d’équité, de diversité et d’inclusion, auront lieu tout au long du projet.

Les consultations avec les ministères partenaires seront également essentielles, compte tenu de leur engagement croissant à l’étranger et de la nature mondiale d’un nombre croissant de questions nationales, telles que la santé, l’environnement, l’agriculture, la migration et la sécurité.

Le Ministère participera aussi activement à l’étude d’AEFA au Sénat.

Des dialogues avec des intervenants canadiens alimenteront également l’examen de la modernisation, entre autres des groupes de réflexion, des experts, des universitaires, d’anciens hauts fonctionnaires et chefs de mission canadiens, des entreprises et des ONG.

Enfin, des consultations seront également menées auprès d’autres ministères des Affaires étrangères qui font ou ont fait récemment l’objet d’examens similaires, et qui offrent des modèles comparatifs de prestation de services.

6. Échéances et chemin critique

Le projet a commencé en avril 2022 et devrait être achevé dans un délai d’un an. La première présentation du projet au Comité exécutif d’Affaires mondiales Canada a eu lieu le 29 avril.

Les dialogues et consultations internes et externes devraient être entamées à la fin mai 2022, après le lancement officiel du projet auprès des employés par les sous-ministres.

[CAVIARDÉ].

Des rapports d’étape, qui pourront inclure des conclusions provisoires, seront régulièrement remis au Comité exécutif, aux sous-ministres d’Affaires mondiales Canada et à la ministre des Affaires étrangères.

L’objectif est d’élaborer un projet de rapport à des fins d’examen par les sous-ministres d’Affaires mondiales Canada [CAVIARDÉ].

[CAVIARDÉ]

Veuillez consulter l’annexe B pour observer le chemin critique détaillé.

7. Ressources

Cet examen sera mené selon les ressources ministérielles existantes. Des efforts seront faits pour cerner les possibilités de réaffectation afin de répondre aux besoins en ressources qui pourraient être identifiés dans le cadre de cet exercice. Certaines des recommandations émanant de l’examen nécessiteront probablement des ressources supplémentaires si elles doivent être mises en œuvre.

ANNEXE A – Gouvernance et partenaires

Version texte

Équipe de base : SMD, équipe POD de PFM. Groupe directeur des SMA, stratégies ministérielles en cours

Leadership exécutif et secteur législatif : CPM, MINA, processus au Sénat et au Parlement

Intervenants canadiens : Groupes de réflexion canadiens, experts, universitaires, anciens chefs de mission canadiens, anciens hauts fonctionnaires du gouvernement du Canada, entreprises, ONG, etc.

GC : Autres ministères, réseaux d’AMC, associations d’employés/syndicats

Partenaires étrangers : Consultations avec des partenaires étrangers procédant à des examens semblables ou des efforts de modernisation

Organismes exécutifs : ExCo, DM4, DMCC, P&PC

Conseil consultatif

[CAVIARDÉ].

Les parties consultées comprendront les suivantes :

Biographies des membres d'AEFA

Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international (AEFA)
44e législature, première session
Décembre 2021 à aujourd'hui

Président

Peter Boehm
(GSI – Ontario)

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Peter Harder
(GPS – Ontario)

2e vice-président

Michael L. MacDonald
(PCC – Cap-Breton, Nouvelle‑Écosse)

Membres

Stephen Greene
(GSC – Nouvelle-Écosse)

Gwen Boniface
(GSI – Ontario)

Victor Oh
(C – Ontario)

David Richards
(GSC – Nouveau- Brunswick)

Marty Deacon
(GSI – Ontario – Région de Waterloo)

Mary Coyle
(GSI – Nouvelle-Écosse)

Amina Gerba
(GPS – Québec)

Mohamed-Iqbal Ravalia
(GSI – Terre-Neuve-et-Labrador)

Yuen Pau Woo
(GSI – Colombie-Britannique)

Ordre des questions

Contrairement à la Chambre des communes, il n’y a pas d’ordre précis aux questions. Lorsque les allocutions d’ouverture sont prononcées, les députés qui souhaitent poser une question attirent l’attention du greffier afin d’être ajoutés à la liste. Tout sénateur, même s’il n’est pas membre du Comité, a le droit d’assister à la réunion, de s’asseoir à la table et de poser des questions. Les sénateurs qui ne sont pas membres du comité ne peuvent pas voter, mais les votes au sein des comités du Sénat sont très rares.

Les témoins disposent généralement de dix minutes pour prononcer leur allocution d’ouverture, mais le président leur demande souvent de limiter ce temps à cinq minutes si d’autres témoins doivent aussi faire une allocution d’ouverture.

Mandat

Le Comité sénatorial permanent des affaires étrangères et du commerce international étudie les projets de loi qui lui sont renvoyés par la Chambre des communes et en fait rapport. Il entreprend généralement au moins une étude majeure à la fois qui peut durer plus d’un an. Outre les motions qui portent sur un sujet d’étude précis, le Comité disposera toujours d’une motion générale qui permet de courtes études d’une ou deux réunions au fur et à mesure de l’évolution des « questions mondiales ».

Les sujets d’ordre général étudiés par le Comité comprennent les suivants :

Les ministères et organismes fédéraux sous la surveillance directe du Comité sont les suivants :

Peter Boehm
(GSI– Ontario)
Date de nomination : 2018-10-03
Date de retraite : 2029-04-26

PETER BOEHM
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Membre de l'Association parlementaire Canada-Europe

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Né à Kitchener, en Ontario, le sénateur Boehm est titulaire d’un doctorat en histoire de l’Université d’Édimbourg, d’une maîtrise ès arts en affaires internationales de la Norman Paterson School of International Affairs de l’Université Carleton et d’un baccalauréat ès arts en anglais et en histoire de l’Université Wilfrid Laurier.

De juillet 2017 jusqu’à sa retraite de la fonction publique en septembre 2018, il a exercé les fonctions de sous- ministre pour le Sommet du G7 et de représentant personnel du premier ministre (sherpa). Peter Boehm a occupé précédemment le poste de sous-ministre du Développement international. Il a aussi rempli les fonctions de sous-ministre délégué puis de sous-ministre délégué principal des Affaires étrangères. De 2013 à 2017, il a également agi à titre de sherpa pour le Sommet du G8 et les sommets du G7 qui ont suivi, ainsi que pour le Sommet sur la sécurité nucléaire.

Diplomate de carrière, il a occupé le poste d’ambassadeur du Canada en Allemagne de 2008 à 2012, et auparavant, celui de sous-ministre adjoint pour les Amériques, l’Amérique du Nord et les Affaires consulaires. À l’étranger, il a été ministre (Affaires politiques et publiques) à l’ambassade du Canada aux États-Unis, à Washington, ainsi qu’ambassadeur et représentant permanent du Canada auprès de l’Organisation des États américains. Il a également occupé divers postes diplomatiques, notamment à Cuba et au Costa Rica.

Le sénateur Boehm n’appuie pas la motion no 36 (qui vise à exhorter le gouvernement du Canada à condamner l’agression conjointe de la Turquie et de l’Azerbaïdjan contre la République d’Artsakh).

Peter Harder
(GPS —Ontario)
Date De Nomination : 2016-03-23
Date De Retraite : 2027-08-25

PETER HARDER
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Le sénateur Harder est entré au Sénat en mars 2016 où il a été le représentant du gouvernement d’avril 2016 à janvier 2020.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Le sénateur Harder est arrivé au Sénat avec près de 30 ans d’expérience dans la fonction publique fédérale, notamment au sein des ministères de l’Immigration, de la Sécurité publique, de l’Industrie et des Affaires étrangères, ainsi qu’au Conseil du Trésor.

Le sénateur Harder est né à Winnipeg, mais a grandi à Vineland (Ontario), dans la région de Niagara. Ses parents, réfugiés de l’ex-URSS, possédaient une épicerie locale, où il a travaillé pendant son adolescence. Il a étudié les sciences politiques à l’Université de Waterloo, avant de déménager à Ottawa pour travailler comme stagiaire parlementaire. Après des études de deuxième cycle à l’Université Queen’s, il obtient un poste au service extérieur en 1977, et devient rapidement adjoint à la ministre de l’époque, Flora MacDonald. Il occupera ensuite les fonctions de chef de cabinet du très honorable Joe Clark, chef de l’opposition, lequel deviendra vice- premier ministre dans le premier gouvernement du premier ministre Brian Mulroney.

Le sénateur Harder a été le directeur exécutif fondateur de la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada. Il a été nommé sous-ministre pour la première fois en 1991, un rôle qu’il occupera sous cinq premiers ministres et douze ministres, notamment au sein des ministères de l’Immigration, de la Sécurité publique, de l’Industrie et des Affaires étrangères, ainsi qu’au Conseil du Trésor.

Victor Oh
(PCC—Mississauga, Ontario)
Date De Nomination : 2013-01-25
Date De Retraite : 2024-06-10

VICTOR OH
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Il est membre de l’Association législative Canada-Chine.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Victor Oh est un fier Canadien d’origine chinoise. Il a immigré de Singapour au Canada en 1978. Depuis, il est un leader communautaire actif et un résident de Mississauga, en Ontario. En tant que membre éminent de la communauté sino-canadienne, M. Oh s’est consacré à la promotion du multiculturalisme en plus d’aider les nouveaux arrivants à s’établir au Canada et à lancer leurs propres entreprises.

M. Oh est le président fondateur du Conseil de communication commerciale Canada-Chine et président de Wyford Holdings. Il est également membre du Conseil des gouverneurs du Sheridan College Institute of Technology and Advanced Learning. Il est l’ancien président de la Mississauga Chinese Business Association et l’ancien coprésident de la Confederation of Greater Toronto Chinese Business Association.

Au fil des ans, M. Oh a été reconnu pour ses contributions à l’Ontario et au Canada. Il a reçu le Robert Boyne Memorial Award de la commission des services de police de la région de Peel en 2007 et le prestigieux Certificat du mérite civique (maintenant connu sous le nom de Prix de la citoyenneté du Canada) du gouvernement du Canada en 2008, en reconnaissance de son rôle exceptionnel dans la promotion de la valeur de la citoyenneté et de l’aide apportée aux nouveaux arrivants pour s’intégrer à la société canadienne. En 2010, M. Oh est devenu le premier Chinois en 26 ans à recevoir un dîner d’hommage de la Community Living Foundation de Mississauga. En 2011, le magazine Canadian Immigrant l’a nommé parmi les 25 plus éminents immigrants canadiens.

Michael L. MacDonald
(PCC—Cap Breton, Nouvelle-Écosse)
Date de nomination : 2009-01-02
Date de retraite : 2030-05-04

MICHAEL L. MACDONALD
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Il est coprésident du Groupe interparlementaire Canada–États Unis et trésorier du Groupe d’amitié interparlementaire Canada-Corée.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

L’honorable Michael L. MacDonald est un homme d’affaires de la Nouvelle-Écosse et un militant conservateur de longue date. Il est le plus jeune d’une famille de dix enfants dont les ancêtres ont été parmi les premiers à s’établir au Cap Breton.

Le sénateur MacDonald fait ses études au collège King de l’Université Dalhousie (Halifax), où il obtient un baccalauréat spécialisé en sciences politiques en 1977. À son arrivée à Ottawa, en 1978, il travaille au Bureau de recherche du caucus progressiste-conservateur jusqu’en 1980, année où il retourne en Nouvelle-Écosse pour travailler comme attaché politique de l’honorable Gerald Sheehy (1980-1982), puis comme chef de cabinet du premier ministre John Buchanan (1982-1984). De retour sur la Colline du Parlement, il occupe les postes de chef de cabinet de l’honorable Tom McMillan (1984-1985), puis de l’honorable Stewart McInnes (1985-1987).

Depuis 1988, M. MacDonald est président et propriétaire du Fortress Inn Louisbourg, un motel- restaurant situé près de l’endroit où habite sa famille au Cap-Breton.

Il s’est présenté deux fois aux élections fédérales, d’abord en 1988 dans la circonscription de Cap Breton-Richmond Est, puis en 2004 dans celle de Dartmouth-Cole Harbour. Il se porte également candidat du Parti progressiste-conservateur aux élections provinciales de la Nouvelle-Écosse en 1993 et en 1998.

Avant d’être nommé à la Chambre haute, le sénateur MacDonald était vice-président du Parti conservateur du Canada et conseiller national pour la Nouvelle-Écosse.

Il continue de jouer un rôle actif dans sa communauté en Nouvelle-Écosse, notamment en tant qu’entraîneur dans des ligues de hockey et de baseball mineurs, de solliciteur de fonds pour la recherche sur la fibrose kystique et d’intervenant auprès d’organismes de promotion et préservation du patrimoine de la Nouvelle-Écosse et de la langue gaélique.

Mary Coyle
(GSI— Nouvelle-Écosse)
Date De Nomination : 2017-12-04
Date De Retraite : 2029-11-05

MARY COYLE
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Membre de l'Association parlementaire Canada-Europe

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

La sénatrice Coyle détient un diplôme en langue française de l’Université de Besançon, en France, et un baccalauréat ès arts en langues et littérature, avec majeure en français et mineure en espagnol de l’Université de Guelph. Après avoir travaillé pour le ministère du Commerce et de l’Industrie en tant que coopérante de Cuso International au Botswana, elle a obtenu une maîtrise ès arts en planification rurale et développement de l’Université de Guelph. Par la suite, elle a travaillé comme conseillère en développement rural en Indonésie, puis a aidé deux universités islamiques d’État à mettre en place leurs stratégies d’engagement communautaire.

En 1997, elle s’est jointe à l’Université Saint-Francis-Xavier en tant que vice-présidente et directrice du Coady International Institute et, en 2014, elle est devenue directrice exécutive du Frank McKenna Centre for Leadership.

La sénatrice Coyle parraine le projet de loi S-2, Loi modifiant la Loi de mise en œuvre de la Convention sur les armes chimiques. Le projet de loi S-2 vise à modifier la Loi de mise en œuvre de la Convention sur les armes chimiques du Canada afin de rendre cette loi conforme à la Convention sur l’interdiction de la mise au point, de la fabrication, du stockage et de l’emploi des armes chimiques et sur leur destruction, autrement connue sous le nom de Convention sur les armes chimiques, ou CAC.

Marty Deacon
(GSI – Ontario, Région De Waterloo)
Date De Nomination : 2018-02-15
Date De Retraite : 2033-04-23

MARTY DEACON
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Membre de l'Association parlementaire Canada-Europe

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Avant sa nomination au Sénat, la sénatrice Deacon a mené une carrière de 35 ans dans le domaine de l’éducation. Titulaire d’une maîtrise en éducation (Université Western), elle a enseigné (physique, sciences et éducation physique et santé) dans des écoles secondaires (conseil scolaire de district de la région de Waterloo) et dans deux universités (Université de Toronto et Université Western), et a travaillé comme consultante et administratrice aux niveaux primaire et secondaire. Mme Deacon occupait les fonctions de surintendante à la fin de sa carrière dans le domaine de l’éducation. La sénatrice Deacon siège actuellement au conseil d’administration du Comité olympique canadien, des Jeux du Commonwealth Canada, du Centre d’animation scolaire de l’Ontario et de la Grand River Jazz Society.

La sénatrice Deacon croit résolument à l’importance du bien-être physique et mental de tous les Canadiens, et défend les intérêts des femmes, des jeunes filles et des enfants partout dans le monde pour qu’ils aient un avenir meilleur. Elle a conseillé et appuyé des leaders dans des pays en développement, convaincue que le sport, l’art et l’éducation peuvent contribuer à bâtir de meilleures communautés, une communauté à la fois. La sénatrice Deacon s’efforce de faire en sorte que les organisations puissent prospérer et fonctionner à un niveau optimal. Elle a contribué à l’élaboration d’une gouvernance et d’une politique qui permettent d’atteindre cet objectif de manière significative, ciblée et respectueuse.

Stephen Greene
(GSC—Citadel, Halifax, Nouvelle-écosse)
Date De Nomination : 2005-01-02
Date De Retraite : 2024-12-08

STEPHEN GREENE
Principaux intérêts

Le sénateur Greene a été candidat du Parti réformiste aux élections fédérales de 1993 et 1997. Il a également été le chef de cabinet de Preston Manning du Parti réformiste du Canada de 1993 à 1996. En 2006, il est devenu secrétaire principal et chef de cabinet adjoint du premier ministre de la Nouvelle- Écosse, Rodney MacDonald.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Le sénateur Greene est né à Montréal et a fait ses études secondaires à Lorne Park, à Mississauga (Ontario). Il est titulaire d’un baccalauréat spécialisé de l’Université McMaster et d’une maîtrise de l’Université Dalhousie. Il vit à Halifax. Le sénateur Greene a travaillé à l’ambassade canadienne à Washington, D.C., où il a été chargé de faire rapport sur la manière dont les États-Unis ont élaboré leur politique des pêches dans la foulée de l’imposition de la limite de 200 milles. Par la suite, il a géré les relations entre le gouvernement et H.B. Nickerson & Sons Limited.

Alors qu’il travaillait dans l’industrie de la pêche, on lui a demandé de réintégrer le Service extérieur. On lui a alors confié un poste au consulat canadien à Boston, où il a été chargé de gérer la nouvelle frontière dans le golfe du Maine. Il s’est joint ensuite à la société Clearwater Fine Foods Inc. Sous la direction de M. Greene à Clearwater, le secteur canadien de la pêche a adopté un système de droits de propriété transférables qui a favorisé la croissance des investissements.

Rôles parlementaires

Le sénateur Greene a été candidat du Parti réformiste aux élections fédérales de 1993 et 1997. Il a également été le chef de cabinet de Preston Manning du Parti réformiste du Canada de 1993 à 1996. En 2006, il est devenu secrétaire principal et chef de cabinet adjoint du premier ministre de la Nouvelle- Écosse, Rodney MacDonald.

Amina Gerba
(GPS— Riguad, Québec)
Date de nomination : 2021-07-29
Date de retraite : 2036-03-13

AMINA GERBA
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

La sénatrice Gerba est membre de l’Association parlementaire Canada-Afrique et de l’Association interparlementaire Canada-France.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Originaire du Cameroun, Mme Gerba a travaillé pour plusieurs sociétés canadiennes de 1993 à 1995, en se concentrant sur le développement de marchés en Afrique. En 1995, elle a créé son propre groupe-conseil, Afrique Expansion Inc., afin d’établir des ponts entre le Canada et l’Afrique et de promouvoir des opportunités d’affaires. Depuis, elle a créé et géré d’autres entreprises, dont Flash Beauté Inc. et Kariliss Laboratories Inc. ainsi que l’organisation à but non lucratif Forum Afrique Expansion.

De février 2018 jusqu’à sa nomination comme sénatrice indépendante au Parlement du Canada en juillet 2021, Mme Gerba était la présidente du conseil d’administration d’Entreprendre ici, un organisme mis en place dans le cadre du Plan d’action gouvernemental en entrepreneuriat 2017-2022 du Québec pour soutenir les entrepreneurs issus de la diversité ethnoculturelle au Québec. Femme très engagée socialement, Mme Gerba a siégé sur plusieurs conseils d’administration d’organismes publics et privés, dont ceux de l’Université du Québec à Montréal et de son comité exécutif. Elle est membre et ancienne présidente du Club Rotary du Vieux-Montréal et mentore pour le Réseau des entrepreneurs et professionnels africains.

Mme Gerba détient un baccalauréat en administration des affaires et une maîtrise en administration des affaires de l’Université du Québec à Montréal. Elle est mère de quatre enfants (Ali, Aïcha, Habi, Kiari) et grand-mère de trois petits-enfants.

Gwen Boniface
(GSI— Ontario)
Date de nomination : 2016-11-10
Date de retraite : 2030-08-05

GWEN BONIFACE
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Elle est membre de l’Association parlementaire Canada-Europe et de la section canadienne de l’Association parlementaire de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

La sénatrice Boniface a lancé un projet axé sur la vérité et la réconciliation dans sa collectivité, Orillia, en 2019, avec des Autochtones et des non Autochtones. L’initiative a pris de l’ampleur et elle continue d’évoluer dans le cadre de rencontres régulières avec des aînés locaux et des intervenants communautaires. Au Sénat, elle s’est consacrée à la lutte contre la traite des personnes, la violence familiale et la crise des opioïdes. En novembre 2021, elle a présenté un projet de loi d’intérêt public du Sénat, intitulé projet de loi S-232, Loi concernant l’élaboration d’une stratégie nationale de décriminalisation des substances illégales et modifiant la Loi réglementant certaines drogues et autres substances et d’autres lois en conséquence.

Avant d’être nommée à la Chambre haute, la sénatrice Boniface a occupé divers postes à l’international pendant dix ans. Elle a notamment été inspectrice en chef adjointe de l’Inspectorat de la Garda Síochána d’Irlande, où elle avait la tâche de réformer le service de police national. Elle a ensuite occupé les fonctions de spécialiste de la criminalité transnationale organisée à la Division policière des Nations Unies, puis de directrice générale adjointe de l’Association internationale des chefs de police. La sénatrice Boniface a été la première femme à être nommée commissaire de la Police provinciale de l’Ontario et elle est l’ancienne présidente de l’Association canadienne des chefs de police. Elle a été commissaire à la Commission du droit du Canada pendant cinq ans.

David Richards
(³Ò³§°ä&³¾»å²¹²õ³ó;±·´Ç³Ü±¹±ð²¹³Üâ€Ì¬°ù³Ü²Ô²õ·É¾±³¦°ì)
Date de nomination : 2017-08-30
Date de retraite : 2025-10-17

DAVID RICHARDS
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Membre de l'Association parlementaire Canada-Europe

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

David Adams Richards est un auteur, essayiste, scénariste et poète canadien de renom dont l’œuvre est le reflet d’un engagement envers la vallée de la rivière Miramichi, la province et le pays. Ses écrits, dans lesquels il donne la parole aux personnes marginalisées et aident les lecteurs à approfondir leur compréhension de l’expérience humaine, ont été traduits en douze langues et font partie des programmes de cours d’universités canadiennes et américaines.

M. Richards a été un écrivain en résidence dans de nombreux collèges et universités partout au Canada et a reçu un doctorat honorifique de trois universités du Nouveau-Brunswick et de l’École de théologie de l’Atlantique. Seulement deux autres auteurs ont comme lui remporté le Prix littéraire du Gouverneur général dans les catégories de fiction et de non-fiction. Il est le co-lauréat du Prix Giller de 2000 pour son roman « Mercy Among the Children » et il a reçu de nombreux autres prix prestigieux, dont le Prix littéraire Canada-Australie, deux Prix Gémeaux pour la rédaction de scénarios, la récompense Alden Nowlan dans la catégorie Excellence dans les arts, le Prix de la Canadian Authors Association et le Prix Matt Cohen de 2011 pour une vie remarquable de contributions à la littérature canadienne.

En 2007, il a reçu le Prix régional des écrivains du Commonwealth. Il est membre de l’Ordre du Nouveau-Brunswick et de l’Ordre du Canada. Le Writers’ Union of New Brunswick et l’Université St. Thomas ont créé des prix annuels en son nom.

Yuen Pau Woo
(GSI — Colombie‑Britannique)
Date de nomination : 2016-11-10
Date de retraite : 2038-03-02

YUEN PAU WOO
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Le sénateur Woo a occupé le rôle de facilitateur du GSI de 2017 à 2021.

Participation notable aux comités suivants :

Notice biographique

Depuis plus de trente ans, le sénateur Woo travaille sur des questions de politique publique liées aux relations entre le Canada et les pays d’Asie. De 2005 à 2014, il a été président-directeur général de la Fondation Asie Pacifique du Canada, dont il est toujours membre distingué pour l’Asie de l’Est. Il est chercheur principal à l’école de commerce de l’Université Simon Fraser et à la School of Public Policy and Global Affairs de l’Université de la Colombie-Britannique. Le sénateur Woo est membre de la Commission trilatérale ainsi que du conseil d’administration de la Vancouver Academy of Music et siège aux conseils consultatifs du Mosaic Institute, de la Canadian Ditchley Foundation et du York Centre for Asian Research.

Mohamed-Iqbal Ravalia
(GSI – Terre-Neuve-et-Labrador)
Date de nomination : 2018-06-01
Date de retraite : 2032-08-15

MOHAMED-IQBAL RAVALIA
Principaux intérêts
Rôles parlementaires

Participation notable, en tant que membre, aux comités suivants :

Notice biographique

Le sénateur Ravalia est un médecin réputé. Il enseigne aussi la médecine et il entretient des liens communautaires solides avec Twillingate, à Terre‑Neuve‑et‑Labrador.

Le sénateur Ravalia est né et a grandi en Rhodésie, un pays d’Afrique méridionale (qui est devenu le Zimbabwe). Il a immigré au Canada en 1984 et il a pratiqué la médecine familiale à Twillingate, à Terre‑Neuve‑et‑Labrador, jusqu’à sa nomination au Sénat en juin 2018.

En 1980, le sénateur Ravalia a obtenu son diplôme en médecine (MB ChB) de l’École de médecine Godfrey Huggins, en Rhodésie. En 1992, il a terminé un certificat en médecine familiale (CCMF). Il est actuellement Fellow du Collège des médecins de famille du Canada (FCMF). Il est très engagé au sein de sa collectivité. Il a notamment été directeur d’une équipe locale de hockey mineur, a participé à des initiatives de sensibilisation communautaire, a pris part à des activités de financement pour le Club Lions et a accordé son soutien au programme d’école du dimanche de l’Église anglicane.

B. Nos employés

Travail hybride et avenir du travail

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

L’avenir du travail à AMC sera caractérisé par l’innovation et l’adoption d’outils numériques, de nouvelles attitudes accordant la priorité à la culture organisationnelle et à la satisfaction à l’égard du travail, et par des efforts plus importants visant à promouvoir l’inclusion, la diversité et l’équité. Les employés rechercheront de plus en plus la flexibilité offerte par les modèles hybrides, et un compromis devra être trouvé entre cette flexibilité, les besoins ministériels et les considérations liées à la gestion des talents.

Tirant profit des idées et des commentaires recueillis lors des séances d’information approfondies avec les employés et des communications avec d’autres ministères des Affaires étrangères, AMC examine toute une série de thèmes transversaux, dont le bien-être et le moral des employés, la gestion des talents et du rendement, les besoins d’apprentissage et de formation en constante évolution, la diversité, l’équité et l’inclusion, et l’établissement d’une démarche cohérente dans l’ensemble des nombreux secteurs d’activité d’AMC.

Tourné vers l’avenir, le programme de transformation d’AMC prévoit un réexamen des éléments suivants :

Gestion des talents

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Depuis, les RH développent des outils et améliorent les produits de communication pour aider les employés et les gestionnaires à gérer le rendement et les talents.

Perfectionnement des compétences pour le Service extérieur

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

L'Institut canadien du service extérieur (CFSI) offre des programmes et des services d'apprentissage dans les domaines des affaires internationales, de l'efficacité interculturelle, de l'aide internationale, du leadership mondial, des opérations internationales et nationales et des langues étrangères. L'objectif de la formation est de développer les compétences du personnel afin de promouvoir l'excellence individuelle et organisationnelle. La priorité est accordée à l'alignement des activités d'apprentissage sur les principaux objectifs et responsabilités du Ministère et à la promotion du développement des compétences internationales : compétence interculturelle; influence et création d'alliances; jugement dans un contexte global; la résilience et l'adaptabilité, et la communication dans une langue étrangère.

Le programme d'intégration du service extérieur (FSOP) d'AMC offre aux nouveaux employés permutant la possibilité d'acquérir et de renforcer les compétences, les aptitudes et les connaissances de base nécessaires pour être des agents du service extérieur efficaces. Le programme de deux ans, lancé à l'automne 2021 pour coïncider avec le recrutement de nouveaux agents du service extérieur, est conçu pour leur permettre de comprendre comment le service extérieur et ses filières spécifiques contribuent à la place du Canada sur la scène mondiale. Les nouveaux agents du service extérieur recrutés partout au Canada peuvent acquérir la maîtrise des langues officielles du Canada grâce à une formation linguistique à temps plein pouvant aller jusqu'à un an avec le statut Ab Initio. Une fois qu'ils ont atteint ces niveaux, ils sont placés dans une affectation de niveau de travail et commencent un programme de formation de base, un projet d'engagement pancanadien et un programme de mentorat structuré. Par la suite, les participants reçoivent une formation spécialisée dans l'une des quatre filières du service extérieur ainsi qu'une formation en langue étrangère à l'appui d'une affectation à l'étranger, au besoin.

Avant le cycle d'affectation annuel, l'Institut propose également une formation complète de pré-affectation conçue pour préparer les diplomates aux rôles et responsabilités qu'ils assumeront à l'étranger. Cette formation est adaptée aux besoins spécifiques de l'agent, compte tenu du poste et du lieu de son affectation.

Informations supplémentaires sur le mentorat

Formation en langue étrangère

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l'appui

Contexte

Le Centre pour les langues étrangères, qui fait partie de l'Institut canadien du service extérieur, soutient le développement et le maintien des compétences en langues étrangères des employés pour leur permettre de démontrer pleinement leurs compétences internationales à l'étranger, y compris le jugement dans un contexte mondial, la résilience et l'adaptabilité, l'influence et le développement d’alliance et la compétence interculturelle.

Dans l'ensemble, une moyenne de 575 employés bénéficie annuellement de tous les programmes du Centre, y compris l'acquisition à temps plein et à temps partiel et le maintien. Le Centre administre également des tests de compétence basés sur une échelle et un système internationalement reconnus, ainsi que des tests MLAT, un test conçu pour prédire la probabilité de réussite dans l'apprentissage d'une langue étrangère.

En moyenne, 140 salariés sont affectés à temps plein à des formations en langues étrangères de durées diverses au cours d'une année donnée, de quelques mois (par exemple l'espagnol) à quelques années (par exemple le chinois). La formation peut être rendue disponible dans toutes les langues officielles des pays étrangers.

Diversité et inclusion et égalité entre les genres

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

DONNÉES – Tendances en matière d’équité en emploi
Note pour chaque graphique :
Source de données : Systèmes de gestion des ressources humaines (SGRH)
Données au 31 mars de chaque année

Partie 1 : Représentation globale des quatre groupes visés par l’EE à AMC, et employés noirs et mouvement (recrutement, promotions, affectations intérimaires et départs)

Femmes

 Représentation de femmes à AMCFemmes DPA % à AMCFemmes DMT (48,2%)

2018-03-31

55.6%

57.6%

48.2%

2019-03-31

55.4%

57.1%

48.2%

2020-03-31

55.7%

56.2%

48.2%

2021-03-31

56.2%

56.2%

48.2%

2022-03-31

56.7%

56.2%

48.2%

 

 RecrutementPromotionsIntérimairesDéparts

2018/19

56.4%

63.2%

55.8%

61.5%

2019/20

63.6%

62.3%

56.2%

60.2%

2020/21

60.8%

63.5%

58.7%

58.6%

2021/22

61.7%

60.4%

57.0%

58.6%

Autochtones

 Représentation d'Autochtones à AMCAutochtones DPA % à AMCAutochtones DMT (4,0%)

2018-03-31

4.9%

3.1%

4.0%

2019-03-31

5.5%

3.2%

4.0%

2020-03-31

6.3%

3.5%

4.0%

2021-03-31

6.5%

3.5%

4.0%

2022-03-31

6.2%

3.5%

4.0%

 

 RecrutementPromotionsIntérimairesDéparts

2018/19

10.6%

7.0%

6.0%

7.1%

2019/20

10.1%

5.5%

5.6%

10.3%

2020/21

7.5%

7.7%

6.5%

9.6%

2021/22

6.5%

9.0%

6.3%

7.8%

Personnes handicapées

 Représentation des personnes handicapées à AMCPersonnes handicapées DPA % à AMCPersonnes handicapées DMT (9,1%)

2018-03-31

3.3%

3.9%

9.1%

2019-03-31

3.4%

3.9%

9.1%

2020-03-31

3.4%

9.1%

9.1%

2021-03-31

3.3%

9.1%

9.1%

2022-03-31

3.7%

9.1%

9.1%

 

 RecrutementPromotionsIntérimairesDéparts

2018/19

4.1%

3.1%

4.0%

3.4%

2019/20

3.8%

3.2%

4.1%

4.3%

2020/21

4.5%

3.3%

4.0%

6.0%

2021/22

5.5%

3.2%

4.2%

4.9%

Minorités visibles

 Représentation des Minorités visibles à AMCMinorités visibles DPA % à AMCMinorités visibles DMT (21,3%)

2018-03-31

20.3%

13.9%

21.3%

2019-03-31

21.9%

13.9%

21.3%

2020-03-31

23.7%

15.8%

21.3%

2021-03-31

25.3%

15.8%

21.3%

2022-03-31

26.2%

15.8%

21.3%

 

 RecrutementPromotionsIntérimairesDéparts

2018/19

30.3%

20.3%

21.0%

17.5%

2019/20

28.4%

23.2%

23.3%

21.0%

2020/21

25.5%

28.4%

25.5%

19.8%

2021/22

26.0%

30.0%

25.2%

23.7%

Noirs

 Représentation des personnes noires à AMCPersonnes noires DMT (3,18%)

2018-03-31

3.4%

3.18%

2019-03-31

3.7%

3.18%

2020-03-31

4.1%

3.18%

2021-03-31

4.4%

3.18%

2022-03-31

4.8%

3.18%

 

 RecrutementPromotionsIntérimairesDéparts

2018/19

5.7%

3.5%

2.9%

4.3%

2019/20

7.6%

4.7%

4.5%

3.7%

2020/21

6.0%

5.6%

5.0%

3.2%

2021/22

7.6%

4.8%

5.3%

4.0%

Partie 2 : Représentation – Groupe professionnel des EX

Femmes dans le groupe EX

 Représentation des Femmes dans le groupe EX à AMCFemmes dans le groupe EX - DPA % à AMCFemmes - DMT (48,2%)

2018-03-31

44.0%

51.4%

48.2%

2019-03-31

44.5%

49.1%

48.2%

2020-03-31

45.9%

48.5%

48.2%

2021-03-31

46.3%

48.5%

48.2%

2022-03-31

49.7%

48.5%

48.2%

Personnes handicapées dans le groupe EX

 Représentation des Personnes handicapées dans le groupe EX à AMCPersonnes handicapées dans le groupe EX - DPA % à AMCPersonnes handicapées - DMT (9,1%)

2018-03-31

2.8%

2.3%

3.9%

2019-03-31

2.7%

2.3%

3.9%

2020-03-31

2.6%

5.3%

9.1%

2021-03-31

2.2%

5.3%

9.1%

2022-03-31

1.7%

5.3%

9.1%

Autochtones dans le groupe EX

 Représentation des Autochtones dans le groupe EX à AMCAutochtones dans le groupe EX - DPA % à AMCAutochtones - DMT (4,0%)

2018-03-31

3.8%

5.0%

4.0%

2019-03-31

3.7%

5.8%

4.0%

2020-03-31

3.2%

6.0%

4.0%

2021-03-31

3.0%

6.0%

4.0%

2022-03-31

3.3%

6.0%

4.0%

Minorités visibles dans le groupe EX

 Représentation des Minorités visibles dans le groupe EX à AMCMinorités visibles dans le groupe EX - DPA % à AMCMinorités visibles - DMT (21,3%)

2018-03-31

11.4%

9.5%

21.3%

2019-03-31

10.9%

8.5%

21.3%

2020-03-31

11.8%

8.5%

21.3%

2021-03-31

14.4%

8.5%

21.3%

2022-03-31

15.6%

8.5%

21.3%

Personnes noires dans le groupe EX

 Représentation des personnes noires dans le groupe EX à AMCPersonnes noires DMT (3,18%)

2018-03-31

0.8%

3.18%

2019-03-31

0.6%

3.18%

2020-03-31

0.6%

3.18%

2021-03-31

0.6%

3.18%

2022-03-31

1.1%

3.18%

Langues officielles

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Répartition de l’effectif global canadien selon la première langue officielle

PopulationAnglaisFrançais
Canadiens (selon le recensement de 2016)*75,4 %22,8 %
Dans toutes les institutions fédérales assujetties à la Loi sur les langues officielles (au 31 mars 2020)*74,4 %25,6 %
Dans l’administration publique centrale**69,5 %30,5 %
Affaires mondiales Canada (selon les données du SGRH au 31 décembre 2021)59 %41 %
* Rapport annuel sur les langues officielles 2019–2020 du Conseil du Trésor, selon les données au 31 mars 2020
** Administration publique centrale, 2021

Profil linguistique des cadres supérieurs d’AMC

 FrancophonesAnglophonesTotal
EX-16728 %17172 %238
EX-24033 %8166 %122
EX-31919 %8381 %102
EX-4316 %1684 %19
EX-5325 %975 %12
Total13227 %36073 %493
 FrancophonesAnglophonesTotal
CDM actuels2619 %9065 %116
CDM prévus en 20223324 %10376 %136

Dotation : Effectif permutant d’AMC

Faits et chiffres à l’appui

Données démographiques sur les bassins de postes permutants

 PostesEmployésTaux d'occupationObjectifÉcart
Total2494205983 %100 %435
FS, IT, AS2014168484 %100 %330
EX48037578 %100 %105

Contexte

Recrutement et affectations

Messages clés

Contexte

Processus de nomination des chefs de mission

Messages clés

Contexte

Diversité, inclusion et égalité entre les genres

Messages clés

Employés recrutés sur place

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Version texte
AnnéesConsulaireAide InternationaleSupport au CDMGestionProgramme autres initiativesSupport autres initiativesPolitique / ÉconomiePréparationsCommercialTotals

2011

316

-

467

1855

351

1277

384

-

630

5280

2012

333

-

469

1920

344

1298

414

-

568

5346

2013

311

-

404

1798

302

1054

354

-

584

4807

2014

308

153

396

1789

211

985

353

-

579

4774

2015

324

160

398

1836

216

1048

373

-

607

4962

2016

322

164

378

1863

213

1073

384

-

599

4996

2017

312

167

378

1872

207

1066

383

-

613

4998

2018

325

171

386

1879

203

1075

396

-

621

5056

2019

344

173

388

1916

190

1122

388

-

636

5157

2020

335

174

367

1973

186

1187

397

-

678

5297

2021

342

169

361

1930

174

1176

393

79

690

5314

Contexte

La sous-ministre des Affaires étrangères s’est vu déléguer de vastes pouvoirs pour gérer tous les aspects du programme des ERP du gouvernement du Canada (classification, dotation, relations de travail, rémunération et avantages sociaux, etc.). La communauté des ERP représente environ 45 % de l’effectif total d’AMC et 75 % de son personnel dans les 178 missions réparties dans 112 administrations à travers le monde.

Les ERP ne sont pas des fonctionnaires canadiens, mais ils constituent un élément essentiel de la présence du Canada à l’étranger et leur rôle a évolué. La tendance à l’augmentation du niveau de responsabilités des ERP travaillant dans les missions canadiennes se reflète dans la pratique de la plupart des ministères des Affaires étrangères. Cependant, les principes établis par le Conseil du Trésor sur le programme des ERP, à savoir ceux de la loi locale, du marché du travail local et des besoins opérationnels, signifient que les conditions d’emploi des ERP dans le monde entier sont rattachées à l’analyse du marché du travail local.

Conscient de la nécessité d’offrir de bonnes conditions de travail et un environnement qui favorise l’inclusion ainsi que les compétences, AMC a entrepris, sur une base régulière, un examen des paramètres clés régissant le programme des ERP. La réforme du cadre de gestion des RH des ERP de 2019 a commencé par un effort de mise à jour du cadre vieux de 50 ans pour inclure l’alignement avec les principes élargis de la fonction publique canadienne ainsi que pour assurer l’uniformité avec les priorités de la politique étrangère du Canada.

Malgré les défis introduits par la pandémie de COVID-19 et l’absence d’augmentation supplémentaire des niveaux de référence, des priorités telles que celles définies lors du premier symposium mondial des ERP tenu en 2019 (classification, gouvernance et mobilisation) ont été mises en œuvre. La directive clé sur l’emploi et la dotation en personnel ainsi que les directives sur le travail en dehors des locaux de la mission ont été introduites en réponse à l’évolution de la réalité du travail.

Cette situation, combinée à une série de crises géopolitiques récentes touchant les opérations de la mission, continuera à orienter les efforts continus d’AMC pour développer le cadre, les outils et les stratégies de gestion du programme des ERP.

Conditions du service extérieur – permettre la permutabilité

Faits et chiffres à l’appui

Affaires mondiales Canada, par l’entremise des Directives sur le service extérieur, soutient annuellement :

Contexte

Les Directives sur le service extérieur (DSE), combinées au salaire, permettent aux ministères et aux organismes de recruter, de conserver et de déployer des employés qualifiés à l’appui des programmes gouvernementaux à l’extérieur du Canada. Il s’agit d’une entente négociée entre l’employeur (le Conseil du Trésor) et les agents  négociateurs.

En prévision des révisions négociées des directives l’année prochaine, une analyse de l’ACS+ et la mobilisation des parties prenantes sont en cours pour s’assurer que les dispositions permettent un service extérieur moderne et offrent un soutien équitable à notre main-d’œuvre de plus en plus diversifiée.

Salaires : Les fonctionnaires canadiens du gouvernement du Canada en poste à l’étranger sont payés en fonction de leur niveau de classification. En plus de leur salaire, les employés canadiens reçoivent également une série d’indemnités qui peuvent inclure, entre autres, l’Indemnité de subsistance de poste (pour compenser les coûts plus élevés d’achat de biens et de services à la mission) et l’Indemnité différentielle de poste (pour les missions où la vie est considérée comme plus difficile qu’à Ottawa-Gatineau). Le montant des indemnités peut varier considérablement d’un employé à l’autre, car il est fonction de la configuration familiale de l’employé, de son salaire, du nombre d’années passées à l’étranger et du niveau de difficulté de la mission.

Familles : Les Directives sur le service extérieur contiennent un certain nombre de dispositions visant à soutenir les familles, telles que le voyage annuel de regroupement familial si les familles sont séparées pendant une affectation, les allocations d’éducation et les allocations supplémentaires pour les membres de la famille accompagnatrice.

Les salaires

Assurance en cas de décès et de mutilation par accident : Affaires mondiales Canada offre également aux employés qui se rendent dans des endroits hostiles une assurance en cas de décès et de mutilation par accident (DMA), en plus du régime actuel d'assurance-maladie de la fonction publique. Sur la base des critères actuels, cette assurance est en place pour Kaboul, Afghanistan ; Erbil et Bagdad, Irak ; Djouba, Soudan du Sud ; les États du Soudan du Sud de l'Unité, du Jonglei, du Haut- Nil, des Lacs, de l'Équatoria oriental et de l'Équatoria occidental ; Tripoli, Libye; et la bande de Gaza.

Bien-être

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Santé et sécurité au travail

Santé psychologique

COVID-19

Incidents de santé inexpliqués (ISI)

Prévention du harcèlement et de la violence sur le lieu de travail

Suivi et capacité médicale ministérielle

C. Notre capacité stratégique et nos principales responsabilités

Tendances mondiales et moteurs de diplomatie

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Des tendances clés aux échelons stratégique et opérationnel amènent à s’interroger sur l’adaptation de la diplomatie canadienne au contexte d’aujourd’hui.

Sur le plan stratégique, les dynamiques géopolitiques tendues ont exercé des pressions sur tous les pays, y compris le Canada, pour qu’ils s'alignent sur les grandes puissances sur des questions clés. Il s’agit d’un processus diplomatique délicat.

Sur le plan opérationnel, la transformation du travail a soulevé des questions sur l’importance relative de la proximité physique pour la conduite de la diplomatie et sur la façon dont d’autres méthodes peuvent être plus efficaces pour influencer des interlocuteurs clés dans certaines situations.

L’évolution rapide de la technologie exige également des diplomates qu’ils accèdent aux analyses de données massives et les traitent, et qu’ils utilisent efficacement de nouvelles formes de communication plus immédiates.

Les facteurs relatifs à la diversité et à l’inclusion suscitent des attentes à l’égard d’un service extérieur qui tient mieux compte de la diversité linguistique, sexuelle, ethnique et raciale du Canada.

Les divers canaux de la diplomatie et l’augmentation du nombre d’intervenants diplomatiques non étatiques et de leur influence obligent à réévaluer les moyens les plus efficaces par lesquels le Canada peut promouvoir ses intérêts à l’étranger.

Défense des intérêts et diplomatie internationale

Messages supplémentaires

*Sept services essentiels

Information et analyse

Fournir de l’information et de l’analyse politique et économique sur les questions internationales actuelles ou émergentes.

Élaboration des politiques

Décrire le contexte international et proposer des options de politique étrangère.

Intégration des politiques

Exercer un leadership et fournir des conseils aux fins de positions nationales cohérentes sur des enjeux politiques internationaux.

Défense des intérêts

Coordonner la défense d’intérêts stratégique à l’échelle internationale pour promouvoir les intérêts canadiens.

Accès

Faciliter et maintenir l’accès à des interlocuteurs clés et décideurs potentiels.

Prestation de programmes

Mettre en œuvre des programmes de dimension internationale.

Encadrement de visites

Fournir de l’aide aux dignitaires canadiens pendant des visites officielles à l’étranger.

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

La revitalisation de la diplomatie publique, le renforcement de la capacité diplomatique du Canada et l’engagement du public à l’étranger sont des priorités du Ministère selon les lettres de mandat ministériel, notamment à l’aide de la diplomatie culturelle.

Cependant, en l’absence d’une orientation stratégique de haut niveau ou d’une supervision centralisée de la diplomatie publique et des affaires publiques, et en l’absence de nouvelles ressources pour la coordination de ces activités à l’administration centrale et dans les missions, il n’y a pas eu de progrès notables. Les efforts sont loin d’être achevés, puisque le Ministère doit clarifier les mandats des programmes, établir les priorités de l’orientation stratégique et améliorer la formation et l’évaluation des résultats.

Le Canada pourrait déployer plus efficacement la culture et d’autres outils de diplomatie publique tels que le milieu universitaire, les sciences et les sports pour promouvoir ses intérêts en matière de politique étrangère, comme l’ont fait d’autres puissances moyennes. En raison de décennies de financement irrégulier, le ministère des Affaires étrangères du Canada affiche l’engagement et l’investissement les plus faibles en matière de diplomatie culturelle au sein du G7, et l’un des plus faibles au sein du G20, derrière des acteurs comme l’Australie, la Corée du Sud, le Brésil, la Russie et la Chine.

Les campagnes de sensibilisation ciblées offrent la possibilité, notamment grâce aux médias et aux médias sociaux, d’attirer l’attention du public sur des enjeux et des acteurs locaux. Un plaidoyer efficace accroît la présence, l’influence et le leadership du Canada sur les grandes priorités.

Qu’il s’agisse d’ateliers de renforcement des capacités pour les jeunes femmes intéressées par la participation politique ou de la formation des journalistes à l’utilisation des données et à l’écriture efficace sur les violations des droits de la personne, les stratégies et les campagnes de plaidoyer aident les missions à identifier et à saisir les occasions d’appuyer le changement. Cette année, par exemple, les politiques féministes du Canada demeureront à l’avant-plan avec #SheLeadsHere, un engagement d’action du Forum sur l’égalité des générations qui permettra à nos missions, au cours de l’année, de fournir aux femmes un accès et un engagement concret avec les principaux responsables et décideurs gouvernementaux.

Analyse de la politique étrangère fondée sur des données probantes

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Stratégie de données d’AMC : La mise en œuvre de la stratégie de données quinquennale du Ministère a permis de réaliser des avancées dans l’utilisation des données en tant qu’informations probantes dans le cadre des processus décisionnels de l’ensemble du Ministère. Le Secteur de la politique stratégique est responsable de la mise en œuvre et peut compter sur le soutien d’intervenants de toutes les filières du Ministère qui sont responsables du changement de culture, de l’accès aux outils et aux données, des ressources humaines et de la formation des RH, de la mesure du rendement et de la gestion et de la gouvernance.

Outils perfectionnés relatifs à la politique étrangère et à la diplomatie : L’Équipe de la science des données de la Direction générale de la GI/TI a soutenu les efforts réalisés pour assurer la surveillance d’événements d’envergure mondiale et de la désinformation dans le monde. Une application de connaissance de la situation offre une plateforme centralisée qui permet aux agents du Service de la politique étrangère et de la diplomatie (SPED) de mettre à profit d’importants volumes de données non structurées provenant de sources ouvertes, de surveiller des événements d’envergure mondiale et d’y réagir pour favoriser la réalisation des objectifs liés à la politique étrangère canadienne. L’Équipe a également encadré la stratégie et les processus décisionnels du SPED en contribuant à l’analyse textuelle approfondie des priorités de politique étrangère des partis fédéraux durant les campagnes électorales canadiennes de 2019 et de 2021 afin d’en déterminer les incidences sur les démarches d’AMC.

De plus, le Centre de la politique numérique internationale dirige le Mécanisme de réponse rapide (MRR) du G7 et fournit un système d’avertissement rapide des menaces à la démocratie en tirant parti de données de sources ouvertes et d’analyses évoluées des données. L’équipe canadienne du MRR mène des recherches pour recenser les tendances et les tactiques émergentes relatives à l’ingérence étrangère dans les processus et les institutions démocratiques, et elle a publié des rapports d’analyse de données de sources ouvertes sur les élections parlementaires européennes, les élections en Ukraine de 2019 et les élections en Alberta de 2019.

Obtention, mesure et divulgation des résultats

Points supplémentaires

Contexte

La gestion axée sur les résultats (GAR) est une approche d’utilisation de données employée à l’échelle de l’organisation pour prendre des décisions fondées sur des données probantes, notamment concernant la manière d’optimiser l’obtention de résultats à toutes les étapes d’une initiative. Il s’agit également d’un élément essentiel pour rendre compte des réalisations du Ministère, et pour veiller à ce que les renseignements relatifs à la gestion du rendement soient utilisés pour orienter les décisions et atteindre efficacement les objectifs du Ministère.

Compte tenu de l’importance de la mesure du rendement à la prise de décisions fondées sur des données probantes et à l’amélioration des résultats pour les Canadiens et les Canadiennes, le Ministère continue de chercher des occasions d’améliorer ses capacités :

Le Ministère travaille actuellement à l’élaboration d’un plan global d’amélioration de la GAR dans l’ensemble du Ministère, soutenu par le Comité de la mesure du rendement et de l’évaluation, coprésidé par le sous-ministre du Développement international et la sous-ministre déléguée des Affaires étrangères.

Gestion axée sur les résultats dans le domaine de la diplomatie

Commerce et investissements

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui (2021-2022)

Contexte

Le SDC offre un service gratuit de consultation et de soutien axé sur la clientèle pour aider les entreprises canadiennes à accroître leurs exportations et à diversifier leurs marchés; faciliter l’IDE au Canada; contribuer à établir des partenariats de recherche et d’innovation; et appuyer le recrutement d’étudiants internationaux. Le SDC collabore avec Exportation et développement Canada, la Corporation commerciale canadienne, Investir au Canada et d’autres partenaires fédéraux et provinciaux ayant des mandats complémentaires en matière de commerce et d’investissement.

Dans le cadre de la Stratégie de diversification des exportations actuelle du gouvernement, le SDC mène les activités suivantes : mettre en œuvre un plan stratégique axé sur la personnalisation des services à l’intention des entreprises à fort potentiel; soutenir un commerce inclusif et progressiste; constituer un effectif à fort impact et agile grâce à la gestion des talents et à la formation; élargir l’éventail d’outils numériques et les moderniser pour améliorer la prestation des services et l’analyse  des données; et harmoniser son fonctionnement avec ses partenaires pour simplifier l’expérience des exportateurs dans l’ensemble des programmes fédéraux.

Voici quelques exemples récents d’investissements dans le SDC :

Programmes de développement, de paix et de sécurité

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Affaires mondiales Canada dirige les efforts d’aide internationale du Canada pour réduire la pauvreté et les inégalités en tirant parti des ressources financières et de l’expertise canadiennes, en fournissant une aide bilatérale au développement et un soutien institutionnel aux organisations multilatérales, des interventions d’aide humanitaire et une aide à la sécurité et à la stabilité dans les États fragiles et touchés par des conflits.

L’aide internationale du Ministère est en grande partie fournie aux pays par l’intermédiaire de trois principaux mécanismes de programmation : mécanismes multilatéraux, mécanismes bilatéraux et partenaires canadiens. Le Canada recherche la meilleure combinaison de mécanismes et de partenaires pour obtenir des résultats dans les situations de crise ou dans les contextes de développement à long terme.

Dans le cadre de la Politique d’aide internationale féministe (PAIF), le Ministère s’est engagé 1) à simplifier et à accélérer nos procédures de financement et de production de rapports, 2) à réduire le fardeau administratif imposé aux bénéficiaires de notre financement et 3) à être plus réactif, transparent et prévisible. Notre plan quinquennal de transformation pour les subventions et les contributions constitue un élément clé de l’exécution de cet engagement. Ce plan est organisé en six secteurs d’intervention privilégiés (chacun d’entre eux comporte des éléments de travail liés aux processus, à la technologie et aux outils, aux personnes et à la culture organisationnelle) : 1) opérations internes, 2) collecte et centralisation des données, 3) évaluation et gestion des risques, 4) gestion financière des projets, 5) gestion axée sur les résultats, et 6) transparence et efficacité pour les partenaires. La partie restante du plan de travail a récemment été divisée en trois phases, de 18 mois chacune. Le travail comprend des changements à apporter aux processus existants, de nouveaux processus pour faciliter les travaux à l’échelle du portefeuille, de nouvelles façons de travailler avec les partenaires, de nouvelles façons de recueillir et d’utiliser les données pour la prise de décision, et différentes façons de raconter ce que nous faisons.

En complément au plan de transformation susmentionné, nous avons également élaboré un plan pluriannuel visant à améliorer la capacité du Ministère à entreprendre des efforts plus efficaces en matière de « triple nexus », tels que la planification et la programmation intégrées dans les situations de conflit. Le terme « triple nexus » renvoie aux efforts humanitaires, de développement et de paix qui sont entrepris de manière plus cohérente et donc plus efficace. Pour faire progresser ce plan interne « triple nexus », l’accent est mis sur le renforcement des capacités internes sur le plan stratégique, opérationnel et fonctionnel à l’échelle du Ministère au moyen d’outils, de conseils, de formations et de changements des comportements.

Aide aux canadiens à l'étranger

Messages supplémentaires

Parmi les incertitudes liées aux voyages internationaux, les Canadiens peuvent compter sur Affaires mondiales Canada pour leur fournir des renseignements pertinents et opportuns, favorisant ainsi leur sécurité et leur permettant de prendre des décisions éclairées.

Le programme consulaire d'Affaires mondiales Canada et l'aide que nous offrons aux Canadiens à l'étranger sont parmi les meilleurs au monde. Nous nous comparons favorablement à nos partenaires les plus proches en ce qui concerne la disponibilité et l'accessibilité de nos services.

Le besoin d'aide à l'étranger et notre capacité à la fournir aux Canadiens sont souvent soumis à des facteurs indépendants de notre volonté : crises, politiques du gouvernement hôte, etc.

La coalition mondiale contre la détention arbitraire dans les relations d'État à État continue de croître, avec maintenant 69 soutiens mondiaux ; c'est la diplomatie canadienne en action.

Faits et chiffres à l’appui

Affaires mondiales Canada répond à une moyenne annuelle de 230 000 services courants et consulaires tels que des demandes de passeport et de citoyenneté, de l'aide générale et des demandes courantes, ainsi que des événements ou des situations difficiles impliquant des Canadiens à l'étranger.

En général, environ 3 % (soit 6 700) des nouveaux dossiers ouverts chaque année nécessitent un soutien consulaire accru pour aider les Canadiens à faire face à des événements ou des situations difficiles à l'étranger. Ce chiffre s'ajoute aux quelque 1 100 dossiers en cours qui nécessitent un soutien important sur plusieurs années.

Malgré la réduction des voyages internationaux au cours des deux dernières années, la demande de services consulaires a persisté avec plus de 119 000 nouveaux dossiers ouverts l'an dernier (exercice 21-22).

Les Canadiens qui ont besoin d'une assistance consulaire à l'étranger peuvent accéder à 260 points de service dans 150 pays.

Les Conseils aux voyageurs du gouvernement du Canada sont une source d'information fiable pour 230 destinations. Les informations et les mises à jour sont publiées 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. 18,9 millions de visites sur notre site web (www.travel.gc.ca) en 2021.

Environ 500 employés à l'étranger (dont beaucoup contribuent aux activités consulaires en plus de leurs autres tâches) fournissent des services de première ligne aux clients consulaires. En outre, 150 employés du siège soutiennent la prestation des services consulaires et d'urgence.

Contexte

En général, Affaires mondiales Canada gère chaque année 7 800 cas qui nécessitent un soutien consulaire accru pour aider les Canadiens à traverser des événements ou des situations difficiles à l'étranger. Il peut s'agir de cas d'arrestation et de détention, de questions liées aux enfants et à la famille, de victimes d'agression, d'aide médicale et de décès. Les besoins en services consulaires dans le contexte de crises internationales peuvent être aigus.

Les Canadiens qui ont besoin d'une assistance consulaire à l'étranger peuvent accéder à 260 points de service dans 150 pays. La majorité des services consulaires sont fournis par des agents consulaires qualifiés dans le réseau des missions du Canada. Dans les endroits où le Canada n'a pas de mission, les services sont offerts par l'intermédiaire du réseau mondial de consuls honoraires et de missions de même nature avec lesquelles le Canada a conclu un accord de partage de services (p. ex. l'Australie).

Cas consulaires complexes

Les facteurs suivants peuvent contribuer à la complexité d'un cas consulaire :

la vulnérabilité (enfants, personnes handicapées, malades mentales, membres de groupes marginalisés, y compris les groupes religieux ou ethniques, et les personnes LGBTQ2+) ;

Gestion des situations d'urgence

Le contexte géopolitique dans lequel les services consulaires sont fournis est de plus en plus complexe. Le nombre de situations d'urgence à grande échelle nécessitant les services de gestion des urgences d'Affaires mondiales Canada en raison de leur impact sur le Canada, les Canadiens et les intérêts canadiens a augmenté de façon constante. Depuis 2020/21, cela inclut le soutien à la réponse pangouvernementale à l'abattage du vol 752 de la compagnie Ukraine International Airlines (PS752) et le rapatriement d'environ 62 500 Canadiens et résidents permanents de 109 endroits dans le monde aux premiers stades de la pandémie de COVID-19, ainsi que des réponses complexes à la crise en Afghanistan et à l'invasion russe de l'Ukraine. Les crises successives des cinq dernières années ont donné lieu à d'importantes innovations, mais ont également mis à rude épreuve les capacités existantes.

Initiative sur la détention arbitraire

Le 15 février 2021, le Canada a lancé la Déclaration contre la détention arbitraire dans les relations entre États afin de démontrer l'opposition mondiale à la pratique de l'arrestation, de la détention et de la condamnation arbitraires de ressortissants étrangers pour des raisons diplomatiques. La Déclaration est maintenant endossée par plus d'un tiers des pays du monde (68 et l'UE).

Passant de la parole aux actes, le Canada a élaboré un plan d'action associé au partenariat, accueilli favorablement par les ministres du G7 en mai 2021 et par les dirigeants du G7 en juin 2021 pour coordonner les actions futures. Une conférence au Canada est en préparation, comme annoncé lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères du G7, en décembre 2021.

D. Nos capacités technologiques et numériques

Stratégie numérique et de données

Points supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Le Plan ministériel sur les services et le numérique (PMSN) décrit les étapes opérationnelles pour mettre en œuvre la Stratégie numérique. Il s'agit notamment de mettre en place un réseau et une infrastructure internationaux modernes et sécurisés, tout en éliminant progressivement les anciennes opérations informatiques inefficaces et moins sûres du ministère, et en fournissant de nouvelles solutions et informations numériques pour soutenir nos employés et nos programmes. Le PMSN s'éloigne de la gestion cloisonnée des investissements et de la prise de décision axée sur la technologie pour se concentrer sur les résultats commerciaux et l'amélioration des produits.

La Stratégie ministérielle en matière de données coordonne les initiatives visant à augmenter l'utilisation des données dans la prise de décision. En s'appuyant sur la science du comportement, elle vise à accroître la sensibilisation et la mobilisation des secteurs à l'égard du Programme de données et de l'analyse, ainsi que le recrutement de personnel qualifié et les activités de renforcement des compétences en matière de données.

Le Programme de données et de l’analyse d’AMC appuie la Stratégie en matière de données en déployant un ensemble d'outils d'analyse qui permettent à tous les employés d'effectuer des analyses et des visualisations en libre-service, ainsi que des capacités sophistiquées pour les ingénieurs et les scientifiques en données. Ces outils sont déjà utilisés au sein d’AMC, par exemple : 1) pour surveiller les événements mondiaux et la désinformation; l'application de connaissance de la situation fournit aux agents du Service de la politique étrangère et de la diplomatie (SPED) une application permettant d'exploiter de grands volumes de contenus médias et de flux Web de source ouverte au sein d’une plateforme centralisée pour surveiller les événements mondiaux et y répondre, à l'appui de la position du Canada en matière de politique étrangère; 2) pour orienter la politique et la prise de décision; une analyse textuelle approfondie a été effectuée sur les priorités de politique étrangère des partis fédéraux pendant les campagnes électorales canadiennes de 2019 et 2021 afin de déterminer les répercussions sur les politiques d’AMC.

Innovation et expérimentation

Points supplémentaires

Contexte

Le cadre stratégique d’AMC exige en particulier que tous les gestionnaires encouragent l'expérimentation, que le personnel cerne de nouvelles possibilités, utilise les données et fasse part des leçons tirées, et que les facilitateurs ministériels facilitent la prise de mesures. Du point de vue de la GI/TI, l'expérimentation est essentielle à la modernisation de la diplomatie du Canada et demande la détermination et l’essai de diverses solutions dans le cadre d’une approche itérative.

Cela nécessite une culture qui encourage les nouvelles idées et accepte les risques d'investir dans de nouvelles solutions numériques lorsque les méthodes conventionnelles ne permettent pas d'atteindre efficacement les objectifs ministériels.

Bien que l’innovation soit encouragée à AMC du point de vue de la vision, plusieurs facteurs empêchent le ministère d'être plus entreprenant en la matière :

  1. Les risques de cybersécurité, inhérents au climat politique mondial et à nos activités à l'étranger, doivent être pris en compte lors de l'expérimentation de nouvelles solutions pour garantir la sécurité et l'intégrité de nos informations sensibles. Cela peut parfois ralentir l'expérimentation ou freiner l’ardeur d’apporter des changements.
  2. Il faut beaucoup de temps, d'efforts et de ressources pour déterminer, expérimenter, mettre au point, mettre en œuvre et communiquer des technologies modernes et y former du personnel. Tout comme il peut être difficile de consacrer du temps à l'expérimentation, les priorités ministérielles concurrentes et les ressources limitées rendent souvent difficile la mise en œuvre de notre ambition d'innovation.
  3. L'expérimentation et l'innovation technologiques ne peuvent pas être réalisées uniquement en mettant en place des solutions numériques; elles nécessitent une mobilisation et une participation importantes au niveau opérationnel. Des efforts concertés entre les TI et l’organisation sont nécessaires pour inventer de nouvelles façons d’offrir des services aux Canadiens.

Pour encourager l'innovation, le Programme de données et de l'analyse d’AMC fournit des fonctions d'analyse avancées au-delà de l'analyse traditionnelle pour relever les défis commerciaux plus complexes du Ministère. Par la suite, AMC innove et expérimente avec de nouvelles technologies et des capacités d'intelligence artificielle et d'apprentissage automatique pour transformer de grands volumes de données complexes en informations exploitables pour la haute direction et pour faciliter la prise de décision et l'élaboration de politiques fondées sur les données. Par exemple, 1) l'application de connaissance de la situation fournit aux agents du Service de la politique étrangère et de la diplomatie (SPED) une application permettant de surveiller les événements mondiaux et la désinformation. Elle tire parti de grands volumes de contenus médias et de flux Web au sein d’une plateforme centralisée en vue de cerner des renseignements clés pour surveiller les événements mondiaux et y répondre, à l'appui de la position du Canada en matière de politique étrangère; 2) plusieurs expériences à petite échelle axées sur l'analyse de politiques et l'analyse de textes à l'aide de capacités de recherche cognitive sont actuellement en cours.

Gestion des risques à Affaires mondiales canada

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l’appui

Contexte

Les risques sont gérés à tous les niveaux du Ministère (pour l’organisation, par programme et par projet). Pour mieux appuyer les exercices de planification, les processus décisionnels et les activités d’affectation des ressources du Ministère, Affaires mondiales Canada a présenté une Stratégie de gestion des risques opérationnels en 2021. Cette stratégie repose sur trois principaux piliers :

Dans le cadre de cette stratégie, au début de chaque cycle de planification de deux ans, la haute direction détermine les cinq principaux risques stratégiques pour les activités du Ministère. Une fois que ces principaux risques stratégiques sont choisis, les stratégies de réduction des risques qui sont élaborées pour contribuer à les gérer, à les minimiser et à les surveiller et sont inscrites dans le profil de risque de l'organisation du Ministère. Ils font également l’objet d’une surveillance par le Comité de gestion ministérielle et le Comité exécutif. Pour 2022-2024, les principaux risques sont les suivants :

  1. La pression constante exercée sur l’effectif pour qu’il s’adapte au changement et à l’augmentation des charges de travail pourrait nuire à la santé, à la sécurité et au bien- être des employés, avoir une incidence sur le maintien en poste, notamment face à la concurrence accrue pour les talents, et limiter la capacité du Ministère de s’acquitter de son mandat.
  2. Le besoin de services de soins de santé adéquats et de mesures de santé et de sécurité supplémentaires en raison de la pandémie peut avoir une incidence sur notre capacité de garantir la santé et la sécurité de notre personnel dans les missions ainsi que de respecter notre obligation de diligence.
  1. Des modalités de télétravail normalisées et prolongées ainsi que les solutions numériques augmentent les cybervulnérabilités et ont une incidence sur la capacité d’intervention du Ministère.
  2. L’infrastructure informatique du Ministère pourrait ne pas être suffisante pour appuyer le fonctionnement efficace du gouvernement canadien à l’étranger ou à l’administration centrale.
  3. Les répercussions de la pandémie, notamment les problèmes de la chaîne d'approvisionnement, pourraient réduire la capacité du Ministère de réaliser des investissements immobiliers, y compris ceux qui concernent l'obligation de diligence et les exigences en matière de sécurité.

Dans le domaine de l’aide internationale, le Ministère réalise un projet pilote innovant sur un cadre de gestion de la propension aux risques afin d’améliorer sa capacité à prendre les risques appropriés en aidant le personnel et la haute direction à mieux évaluer les possibilités, les avantages et les menaces possibles, et ce, afin de prendre des risques mesurés.

Dans la mesure du possible, le Ministère continue de tirer parti de l’expérimentation pour mettre à l’essai des projets et des services à plus petite échelle avant d’investir pour prendre de l’ampleur, ce qui permet de réduire le risque global. Au fur et à mesure que le Ministère intensifiera ses efforts d’expérimentation, il sera en meilleure position pour innover, prendre des risques calculés, réduire l’incertitude et renforcer sa base de données probantes servant à la prise de décisions.

E. Notre présence mondiale

Empreinte mondiale et services

Messages supplémentaires

Biens immobiliers, infrastructure et technologie

Messages supplémentaires

Faits et chiffres à l'appui : portefeuille des biens immobiliers d'affaires mondiales canada

Type de bien immobilierAchetéLouéTotal
Chancellerie6381144
Résidence de chef de mission6359122
Logements du personnel4181 5211 939
Logements à unités multiples281644
Total5721 6772 249

F. Documents additionnels

Taux d'attrition chez les employés canadiens et les employés permutants à Affaires mondiales Canada (AMC)

Taux d'attrition chez les employés canadiens embauchés pour une période indéterminée à AMC
Source des données : SGRH en date du 31 mars 2022
Produit par HSF – Données démographiques des ressources humaines, équité en matière d'emploi, diversité et inclusion

 2018/192019/202020/212021/22
Taux d'attrition
Proportion d'employés embauchés pour une période indéterminée qui ont quitté AMC sur une période donnée (par exercice financier)

9,1%

7,1%

6,5%

6,7%

Taux d'attrition chez les employés canadiens permutants embauchés pour une période indéterminée à AMC
Source des données : SGRH en date du 31 mars 2022 Produit par HSF – Données démographiques des ressources humaines, équité en matière d'emploi, diversité et inclusion

Filière des employés permutants2018/192019/202020/212021/22

FSIA (Dév.)

 

 

1,5%

0,0%

Personnel exécutif

4,5%

3,9%

7,3%

9,4%

Soutien aux chefs de mission

8,1%

2,0%

1,8%

3,3%

Gestion

0,0%

0,0%

0,0%

0,0%

Gestion/services consulaires

3,1%

1,0%

1,3%

4,2%

Politique

2,8%

2,7%

2,5%

4,9%

Personnel administratif permutant

7,0%

4,9%

4,1%

5,4%

Personnel de bureau permutant

0,0%

0,0%

0,0%

50,0%

Personnel de technologie de l'information permutant

0,0%

0,0%

7,7%

0,0%

Commerce

2,7%

3,7%

2,6%

3,1%

AMC (employés permutants)

3,7%

3,0%

2,8%

4,2%

Taux d'attrition chez les employés canadiens embauchés pour une période indéterminée à AMC
Source des données : SGRH en date du 31 mars 2022
Produit par HSF – Données démographiques des ressources humaines, équité en matière d'emploi, diversité et inclusion

Filière des employés permutants2018/192019/202020/212021/22Moyenne annuelle d'employés permutants sur quatre EF (2 EF pour Dév.)Moyenne annuelle de départs d'employés permutants sur quatre EF (2 EF pour Dév.)

FSIA (Dév.)

 

 

1,5%

0,0%

230

2

Personnel exécutif

4,5%

3,9%

7,3%

9,4%

156

10

Soutien aux chefs de mission

8,1%

2,0%

1,8%

3,3%

51

2

Gestion

0,0%

0,0%

0,0%

0,0%

2

0

Gestion/services consulaires

3,1%

1,0%

1,3%

4,2%

302

7

Politique

2,8%

2,7%

2,5%

4,9%

679

22

Personnel administratif permutant

7,0%

4,9%

4,1%

5,4%

235

13

Personnel de bureau permutant

0,0%

0,0%

0,0%

50,0%

2

0

Personnel de technologie de l'information permutant

0,0%

0,0%

7,7%

0,0%

13

0

Commerce

2,7%

3,7%

2,6%

3,1%

427

13

AMC (employés permutants)

3,7%

3,0%

2,8%

4,2%

2097

68

Tableau — Bassins permutants

Version texte

Données démographiques sur les bassins permutants

Postes : Total = 2494; FS/IT/AS = 2014; EX = 480

Employés : Total = 2059; FS/IT/AS = 1684; EX = 375

Taux de dotation : Total = 83%; FS/IT/AS = 84%; EX = 78%

Objectif : Total = 100%; FS/IT/AS = 100%; EX = 100%

Écart : Total = 435; FS/IT/AS = 330; EX = 105

Femmes : 1086 (53%)

Men : 973 (47%)

Représentation des groups vises par l’équité en matière d’emploi

À l’étranger (Permanents et non-permanants) : Femmes = 49,7%; Autochtones = 4,9%; Personnes handicapées = 2,2%; Minorités visibles = 24,1%; Noirs = 4,2%

Employés permutants dans des bassins (diplomats) : Femmes = 52,3%; Autochtones = 4,0%; Personnes handicapées = 3,0%; Minorités visibles = 20,8%; Noirs = 2,2%

Composition des filières – niveau opérationnel (AS, FS et IT)

Politique : 31%

Commerce : 19%

Assistance internationale : 15%

Gestion et consulaire : 18%

Information et technologie : 10%

Assistants administratifs : 7%

Lieux des positions permutantes

Administration centrale : 46%

Étranger : 52%

Régional : 2%

Objectifs stratégiques

  • Processus aggrésifs : combler l’écart d’ici 2023-24
  • Sureffectif dans les bassins pour la durabilité de le dotation
  • Simplifier les processus
  • Stratégies et processus évolutifs

Croissance historique et anticipée des bassins (niveaux opérationnels FS + AS*) – 2018-2024 – combler l’écart d’ici 2023-24

2018 : Employés = 1091; Positions = 1370

2019 : Employés = 1260; Positions = 1741

2020 : Employés = 1293; Positions = 1734

2021 : Employés = 1407; Positions = 1856

2022 : Employés = 1524; Positions = 1774

2023 : Employés = 1743; Positions = 1825

2024 : Employés = 1853; Positions = 1850

*FS + AS sont les plus grands écarts

Calendrier des processus

2020 : FS02 : En cours, 126 candidats retenus

2021 : FS01 : RPS en cours, Cible : 200-300; FS03 : En cours, Cible : 150-175; FSITP : IT02 et IT04, En cours

2022 : EX01 : Lancé en mai; FS01 : MCO: 36 candidats retenus; FS02 : Planifié; FS04 : Planifié; FSEAA : AS03 planifié

2023 : FS01 : Processus RPS; FS03 : Planifié

2024 : EX01 : Planifié; FS02 : Planifié; FS04 : Planifié

Fiche d'information sur les RH d'USS

USS : Bref portrait des ressources humaines

Nombre total d’employés d’Affaires mondiales Canada : 13 106
Employés canadiens : 7 723
Employés recrutés sur place : 5 383
Au Canada : 6 443
À l’étranger : 6 669 (51 %) dans 178 missions
Employés permutants (le « service étranger ») : 2 059 employés (16 % de l’effectif)
Postes permutants : 2 494 (seuls 83 % postes sont dotés)
Recrutement et promotion : 200 nouveaux employés du service extérieur devraient être recrutés cette année; plus de 1 000 candidats ont été recrutés ou ont reçu une promotion depuis 2018

Service extérieur par filière
Politique : 31 %
Commerce : 18 %
Développement : 16 %
Gestion et services consulaires : 19 %
Technologie de l’information/Administration : 16 %

Groupes visés par l’équité en matière d’emploi chez les employés canadiens (données de 2021)
Femmes : 56,2 % (semblable à la disponibilité dans la population active [DPA])
Minorités visibles : 26,2 %, par rapport à 20,4 % en 2018 (DPA=15,8 %)
Autochtones : 6,3 %, par rapport à 4,9 % en 2018 (DPA=3,5 %)
Noirs : 4,8 %, par rapport à 3,4 % en 2018 (Disponibilité sur le marché du travail [DMT] = 3,2 %, aucune donnée sur la DPA)
Personnes handicapées : 3,7 %; DPA et DMT 9,1 % (redéfini et presque triplé en 2020)
Chefs de mission : 47 % de femmes, 12 % de minorités visibles

Langues officielles
Postes désignés bilingues : 89 % en tout et 100 % à l’étranger
Cadres (EX) répondant au profil linguistique : 93 %
Francophones à AMC : 41 % (par rapport à 22,8 dans la population générale et 30,2 % dans la fonction publique)
Cadres francophones : 27 %

Formation en langue étrangère
Formation linguistique à temps plein chaque année : 140
Postes comportant des exigences linguistiques : 433
Investissement dans la formation en langue étrangère : 13,7 millions de dollars par année

Affectations
Réinstallations : 950/année
Personnes à charge à l’étranger : 2 500

Foire aux questions

Questions anticipées et réponses suggérées

Table des matières

Notre personnel

Dotation

Quelle est la répartition des employés à l’étranger par rapport à ceux à l’Administration centrale (AC)?

Quel est la répartition des EC à l’AC et à l’étranger?

Combien d’employés du service extérieur (FS) y a-t-il? Combien d’entre eux ont été embauchés au cours des dernières années? 

Quelle est la répartition du service extérieur par filière?

Combien d’EC sont visés par des ententes multilatérales?

Combien d’EC non-FS sont en affectation à tout moment?

Combien de missions le Canada a-t-il établies à l’étranger?

Combien d’employés EX existe-t-il?

Quel est le ratio entre les employés FS et EX?

Combien de postes EX se trouvent à l’étranger par rapport à ceux à l’AC?

Quel est le calendrier de recrutement prévu pour les cinq prochaines années? 

Comment AMC peut-il adopter des mécanismes de recrutement plus systématiques pour remédier au grave problème de manque d’effectif? Comment AMC prévoit-il remédier au sous‑recrutement et au sous-effectif dans le bassin des employés FS?

Le développement d’une « capacité de pointe » aiderait-il à résoudre certains des goulots d’étranglement et des obstacles opérationnels actuels?

Quel est le taux d’attrition des employés FS? Peut-on le ventiler par année?

ExerciceTous les employés nommés pour une période indéterminéeBassins d’employés permutantsAide internationalePolitique étrangèreCommerce
2020-20216,5 %2,8 %1,5 %2,5 %2,6 %
2021-20226,7 %4,2 %0 %4,9 %3,1 %

Quelles sont les principales raisons pour lesquelles les gens quittent le service diplomatique?

Comment se déroulent les processus de promotion?

Quelle est la proportion de chefs de mission (CDM) nommés pour des raisons politiques par rapport aux diplomates de carrière? Une plus grande proportion de CDM devrait-elle être choisie dans la fonction publique plutôt que parmi les candidats externes? 

Pourquoi y a-t-il tant de postes vacants de CDM?

AMC envisage-t-il d’autres modèles pour résoudre les problèmes de ressources humaines liés aux postes permutants et au système de bassin actuellement utilisé?

L’effectif d’AMC est-il vieillissant?

Employés recrutés sur place (ERP)

Combien y a-t-il d’ERP? Quelle est la proportion moyenne d’ERP par rapport aux EC dans les missions à l’étranger?

Offrons-nous des conditions d’emploi compétitives pour les ERP afin d’attirer les talents dont nous avons besoin? Si ce n’est pas le cas, pourquoi? 

Quel est notre devoir de diligence à l’égard des ERP? Aidons-nous les ERP de la même manière que nous aidons les EC en cas de crise? En particulier, que peut-on apprendre des expériences récentes à Kiev et à Kaboul sur la manière dont AMC traite de façon prioritaire la sécurité et le bien-être des ERP?

Gestion des talents et perfectionnement des compétences

Comment AMC construit-il une expertise diplomatique et précise à une question à l’aide d’un perfectionnement professionnel continu, d’un recrutement soutenu de talents avec des ensembles de compétences de base reflétant le contexte mondial actuel et les questions complexes?

Quelle est l’approche d’AMC pour développer et maintenir l’expertise (géographique, linguistique et fonctionnelle)?

AMC a-t-il des mécanismes en place pour attirer des types d’expertise précis dans le Ministère? Existe-t-il un espace pour l’entrée en milieu de carrière afin d’attirer une expertise précise?

Quelle est l’importance des langues étrangères dans l’approche de gestion des talents d’AMC dans la filière FS?

Combien d’agents du groupe FS reçoivent une formation en langues étrangères?

Combien d’argent est-il dépensé pour la formation en langues non officielles? 

Dépenses annuelles pour la formation linguistique (en millions de dollars) (F&E et salaires des étudiants à temps plein)
2012-20132013-20142014-20152015-20162016-20172017-20182018-20192019-20202020-20212021-2022
13,2 $14,6 $15,1 $13,4 $13,6 $13,1 $14,3 $13,4 $13,0 $13,6 $

Quelle est la proportion de diplomates qui maîtrisent une troisième langue? Plus de 50 % (1 097 sur 2 059) du personnel permutant, dont une forte proportion de cadres (295 sur 375), ont eu des résultats de tests dans le passé qui démontrent une compétence professionnelle intermédiaire ou avancée dans une ou plusieurs langues étrangères.

Dans quelles langues clés devrons-nous investir davantage à l’avenir ? Existe-t-il un plan à cet effet?

Langues officielles 

Des mesures concrètes sont-elles prises pour remédier au statu quo de « l’anglais par défaut »?

Comment AMC se compare-t-il aux autres ministères en termes de bilinguisme?

Combien d’employés FS suivent une formation en langues officielles à un moment donné dans leur carrière?

Le bilinguisme intégral est-il une exigence pour entrer dans le service extérieur?

Quelle formation en langues officielles est disponible pour les diplomates? Existe-t-il des options à temps plein? 

Combien AMC dépense-t-il par an pour la formation linguistique? 

Diversité, inclusion et égalité des genres 

Y a-t-il une tension entre la garantie de la diversité et l’excellence?

Quel pourcentage de diplomates sont membres de groupes d’équité en matière d’emploi, comme les femmes ou les minorités visibles?

Groupe d’EEDisponibilité au sein de la population active (DPA)AMC (EC)
Femmes56,7 %56,72 %
Peuples autochtones3,5 %6,3 %
Minorités visibles15,8 %26,2 %

Quelle est la proportion de femmes parmi les CDM? 

Quelle est la proportion de minorités visibles occupant un poste de CDM? 

Comment AMC travaille-t-il pour améliorer la diversité, l’équité et l’inclusion?

Que fait-on pour soutenir les employés LGBTQ2+ ?

Que fait AMC pour remédier à la sous-représentation des employés d’origine noire ou africaine?

Quelles autres mesures sont prises pour assurer la diversité et l’inclusion dans le service extérieur du Canada?

Conditions du service extérieur (personnel permutant)

Les conditions et exigences uniques du travail permutant sont-elles compatibles avec le modèle de ressources humaines de la fonction publique?

Comment AMC administre-t-il les DSE?

µþ¾±±ð²Ô‑&±ð³¦¾±°ù³¦;³Ù°ù±ð  

Quel soutien en matière de santé et de bien-être fournissons-nous aux diplomates en affectation?

Les diplomates occupant un poste aux conditions difficiles reçoivent-ils les ressources nécessaires à leur santé mentale et physique et leur sécurité?

Réponses suggérées sur le syndrome de La Havane

Réponses suggérées sur la COVID

AMC doit-il revoir la doctrine du « devoir de diligence » pour atteindre un équilibre approprié entre la sûreté et la sécurité du personnel et la présence et la visibilité nécessaires pour demeurer pertinent et présent dans des contextes volatiles?

Travail hybride et avenir du travail  

Comment l’approche du travail diplomatique d’AMC a-t-elle été adaptée pendant la pandémie?  

Quels sont les défis et les possibilités actuels?

Y a-t-il eu une réflexion stratégique de haut niveau sur ce que pourrait être l’avenir de la diplomatie hybride?  

Comment AMC se compare-t-il aux autres organisations dans ce paysage en constante évolution?

Quels autres pays ont fait l’objet d’examens ou d’exercices de modernisation similaires?

Notre capacité politique et nos responsabilités fondamentales

Tendances mondiales et moteurs de la diplomatie

AMC dispose-t-il de mécanismes rigoureux de planification des politiques pour identifier les priorités stratégiques à long terme, anticiper les questions et les défis émergents, introduire de nouvelles idées et solutions et apporter de la cohérence aux réponses?  

Défense des intérêts et diplomatie à l’échelle internationale   

Comment le Canada entreprend-il de défendre ses intérêts à l’échelle internationale?  

Le Ministère entreprendra-t-il un examen de la politique étrangère?  

Quel est le statut de la politique étrangère féministe? Une politique officielle sera-t-elle publiée?  

Comment communiquons-nous avec les Canadiens et comment les informons-nous de notre travail diplomatique et de son incidence sur leur vie?  

Que faisons-nous pour communiquer avec les Canadiens à l’échelle nationale afin d’obtenir un soutien pour notre engagement international?  

Comment les agents de développement des missions du Canada travaillent-ils avec les filières de la politique étrangère et du commerce à la mission?

Comment AMC a-t-il équipé les diplomates canadiens pour faire progresser la mise en œuvre de la Politique d’aide internationale féministe? À quels défis ont-ils été confrontés? En quoi la politique a-t-elle été utile à la promotion des valeurs et des intérêts canadiens?

Analyse de la politique étrangère fondée sur des données probantes   

Comment les données probantes sont-elles utilisées en politique étrangère?

Production et mesure des résultats et production de rapports connexes   

Comment mesurons-nous et évaluons-nous les résultats dans la sphère diplomatique?  

Comment communiquons-nous les résultats à l’interne et au public canadien?  

Commerce et investissement  

Comment les diplomates soutiennent-ils nos priorités en matière de commerce et d’investissement?  

Comment pouvons-nous améliorer la cohérence et la coordination entre la filière FS et les délégués commerciaux?

Existe-t-il des programmes de formation visant à améliorer les capacités des diplomates canadiens en matière de commerce et d’investissement?  

Quelles questions relatives au commerce et à l’investissement revêtiront une importance stratégique au cours de la prochaine décennie? Avons-nous des plans prospectifs pour nous assurer que nous sommes bien positionnés à cet égard?

Comment accroître la cohérence entre les priorités du Canada en matière de commerce et de développement?

Programmation en matière de développement, d’aide humanitaire, de paix et de sécurité  

Comment AMC incorpore-t-il une approche à triple articulation pour assurer la coordination entre les défis du développement, de l’aide humanitaire et de la paix et la sécurité?

Aide aux Canadiens à l’étranger (services consulaires) 

Quelles ont été nos réponses consulaires aux crises récentes, p. ex. la COVID-19, l’Ukraine, l’Afghanistan, etc.?

Y a-t-il des histoires ou des anecdotes clés qui soulignent notre capacité consulaire ou son importance pour les Canadiens?

Comment communiquons-nous avec les Canadiens à l’étranger? 

Nos capacités technologiques et numériques

Stratégie numérique et des données 

À quoi ressemble notre stratégie en matière de données? Notre politique étrangère est-elle éclairée par les données? 

Avons-nous estimé les dépenses futures de modernisation de notre technologie numérique? Une analyse coûts-avantages a-t-elle été réalisée?

Comment utilisons-nous les technologies numériques dans le cadre de la diplomatie? Avons-nous une stratégie cohérente?

Comment allons-nous/ faisons-nous pour mesurer l’efficacité de notre stratégie numérique?

Gestion des risques – TI et questions globales 

La haute direction d’AMC a-t-elle une trop grande aversion au risque? 

Quels sont vos principaux risques informatiques et comment les traitez-vous?

Quels sont les compromis à faire entre atténuer les risques et faire de la place à l’innovation et à l’expérimentation?

AMC a récemment été la cible d’une cyberattaque. Que faisons-nous pour améliorer la sécurité technologique du Ministère?

Les missions à l’étranger disposent-elles des ressources et des technologies nécessaires pour garantir l’intégrité des renseignements sensibles?

Compte tenu de la COVID-19 et pendant les deux années de travail à domicile, comment AMC a-t-il traité les renseignements sensibles sans accès aux serveurs sécurisés (C6)?

Notre présence mondiale

Empreinte mondiale et services – Plateforme internationale 

Les vaccins contre la COVID-19 ont-ils été livrés au personnel diplomatique et à leurs familles? Les ERP ont-ils reçu des vaccins en provenance du Canada?

Comment nous situons-nous par rapport à nos homologues en termes de nombre de missions à l’étranger et de nombre d’EC à l’étranger par rapport à l’AC?

Combien y a-t-il de missions à l’étranger au total? Combien par région?  

Comment AMC soutient-il une présence accrue du gouvernement du Canada à l’étranger?

Quelles sont les dix missions de plus grande taille? 

Quelles sont les dix missions les plus coûteuses? Pourquoi ces missions sont-elles si coûteuses?

Quel est le coût annuel total de nos missions, par région?

Quel est le budget annuel de la mission en ce qui concerne la sécurité?

Quelles sont les missions les plus coûteuses du point de vue de la sécurité?

Il y a une pénurie d’agents de gestion et des services consulaires (AGC) dans l’ensemble du réseau des missions. Avez-vous mis en place une stratégie pour remédier à cette pénurie?

Quel est le coût moyen d’un poste d’EC à l’étranger?

Les missions à l’étranger sont-elles adéquatement équipées?

Quelle est la composition de notre présence physique à l’étranger? Combien de bâtiments nous sont attribués? Combien en possédons et en louons-nous?

Type de propriétéAchetéLouéTotal
Chancellerie6381144
Résidence de chef de mission6359122
Logements du personnel4181 5211 939
Logements à unités multiples281644
Total5721 6772 249

Dans l’ensemble, quel est l’état de notre présence physique à l’étranger? La plupart des bâtiments sont-ils en bon état? 

Les propriétés à l’étranger respectent-elles les normes canadiennes en matière de santé et de sécurité?

Comment la pandémie a-t-elle eu une incidence sur la prestation de la gestion immobilière dans les missions?

Propriétés, infrastructure et technologie 

Notre empreinte mondiale à l’étranger est-elle conforme à nos priorités? 

Nous affirmons que l’Asie est la région qui connaît la croissance la plus rapide au monde, et donc les priorités émergentes. Comment se fait-il que ce soit l’une des régions où nous avons le moins de missions et d’EC?

Le Canada a récemment fermé des ambassades, notamment à Téhéran et à Caracas. Quel est le processus de réouverture de ces missions ou d’autres?

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